Forum en hiatus le temps qu'on se reprenne les couilles en main trololo
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 Scylla ▬ shadows of mass destruction

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Acacia R. Hood
Acacia R. Hood
« we didn't start the fire »
« we didn't start the fire »
Âge : 29
Messages : 30
Date d'inscription : 01/04/2012

Personnage Incarné : Robin des Bois
Surnom : Aca, ARRRH.
Préface de Cromwell : so im essantially the robin hood of void

VOYAGE AU CENTRE DE LA TERRE
Âge : 18 ans
Métier : Lycéen
Que pensez-vous de Noctem ? :
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MessageSujet: Scylla ▬ shadows of mass destruction   Scylla ▬ shadows of mass destruction Empty18.04.12 21:03

I'M GOING TO BLOW, BLOW YOU OFF.
« Scylla pousse d'affreux rugissements, sa voix est semblable à celle d'un jeune lion ; et personne ne se réjouit à la vue de ce monstre terrible, pas même un dieu ! »

Personnage Incarné : Scylla, de l'Odyssée d'Homère (et autres œuvres de la mythologie grecque.)

Nom, prénom(s) : Messine, Evander Scylla.
Surnom : Evan principalement, mais les gens finissent souvent par l'appeller Eva juste pour se foutre de lui.
Âge : 18 ans.
Métier : Lycéen.
Camp : Avec Noctem.
.

I FELL APART, BUT GOT BACK UP AGAIN.
« Le milieu de son corps est plongé dans la vaste caverne, ce monstre ne fait sortir du gouffre que ses têtes hideuses. »

Scylla ▬ shadows of mass destruction Eva1u
Noctem et vous : Noctem, c'est juste des lettres mises bout à bout, un simple mot, un simple nom flottant dans l'air. D'accord, c'est lui qui contrôle la ville entière et toutes ces petites existences, mais pourtant, Evander ne le craint pas, pas plus qu'il ne craint les autres. Parce qu'il n'a aucune raison de le craindre. Après tout, c'est grâce à lui qu'il est avec Charybde, pourquoi en aurait-il peur?
Votre camp et vous : Ils marchent sur la même voie, et pourtant rien ne les relie vraiment. Il n'a aucun avantage à mélanger personnel et 'professionnel', si on peut se permettre d'appeler ça comme ça. Et puis de toute façon, les autres n'ont pas tant d'importance que cela, tant qu'elle est là.
Votre degré d'engagement : Sans totalement être un électron libre, Evan est particulièrement arrangé par la situation dans laquelle Noctem l'a poussé. Rester aux côtés de sa sœur - et en plus pouvoir profiter du magnifique spectacle offert par le maître des lieux, de ces pauvres êtres perdus et voués à revivre leur destin encore et encore, de les voir se saigner, se haïr, se craqueler, et se perdre dans la désillusion. Tout simplement charmant.
Votre plus grande peur : Perdre la seule chose réellement précieuse à ses yeux - Alette. Parce qu'il n'y a que ça qui compte.
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WE FADED FASTER THAN THE SPEED OF LIGHT.
« Scylla est un monstre terrible, sauvage, cruel, qu'on ne peut combattre ; il est impossible de se défendre contre elle, et le plus sûr est de fuir. »

Scylla ▬ shadows of mass destruction Eva3
i was born of the womb of a poisonous spell ;
D'après les bouquins spécialisés en onomastique ou les sites sur internet, Evander signifie "quelqu'un de bon, au grand cœur".

...pitié, vous foutez pas de moi. Comme si ce genre de choses pouvaient avoir raison. C'est qu'une connerie dictée par une ou deux coïncidences, rien de plus, rien de moins. Vous voulez une preuve? Vous m'avez moi, là, devant vos yeux. C'est mieux que n'importe quelle démonstration. Une preuve vivante, en chair et en os. Parce que non, Evander, il n'est pas "bon". Il n'a pas un "grand cœur" non plus. Il en a l'air, certes, derrière son visage juvénile aux traits fins et ses yeux clairs - mais j'imagine que vous savez pertinemment qu'il n'est pas bon de se fier aux apparences. Et encore plus si c'est moi qui vous le dit. Parce que moi, Evander, je trône, royal, au dessus des autres. Je règne en maître au milieu d'un monde de pauvres pions sans importance. Parce qu'il n'y a que moi, ici. Qu'elle et moi.

J'avais tout le potentiel pour être un sale gosse dès le départ. Né dans une famille riche, avec des parents influents, une grande maison, de l'argent, beaucoup d'argent. Rien qu'à l'époque j'étais déjà roi, souverain légitime de mon royaume miniature. Les couloirs, les halls, tout m'appartenait, à moi et à moi seul, mon petit domaine personnel où était gravé mon nom sur tous les murs, comme je m'amusais à l'imaginer. Une belle illusion, un joli petit jeu d'enfant perdu dans ses délires mégalomaniaques. Comme si personne n'avait jamais joué à être le roi du monde. Comme si personne n'avait apprécié voir les autres plier devant soi. Un avorton despotique à qui on obéissait au doigt et à l’œil. J'étais puissant, craint et respecté par tous. Et le meilleur dans tout ça, c'est que je le suis toujours. Ceux qui osent espérer m'atteindre tombent de haut, de très haut, se brisent le crâne sur les rochers meurtriers à mes pieds, tandis que mes crocs se referment sur eux, sans la moindre pitié. Omnipotent et redouté. J'incarnais l’apogée de la perfection aux yeux de ma famille, et en particulier aux yeux de ma mère. Elle savait se faire respecter, et pourtant j'étais sa seule et unique faiblesse. Elle était toujours là, à me choyer, me féliciter. J'étais le centre de leur monde, de son monde, cette pierre angulaire autour de laquelle tout, sans exception, tournait. Chacun de ses mots était une nouvelle marque à mon tableau d'honneur, une nouvelle pierre sur le mur de ma fierté. Parfait. J'étais tout simplement parfait. Tout était précisément calculé dans ce but. Il n'y avait qu'une chose qui ruinait ce beau tableau. Qui l'avait souillé, tâché de noir et de rouge. Je pensais être irréprochable, exemplaire, supérieur. Mais il me manquait une pièce - un minuscule, infime fragment. Cet élément, c'était elle. Elle, et ses deux prunelles brillantes de larmes, ses sourires faibles mais pleins de vie, pleins d'espoir, d'affection, d'attention, d'un simple vœu qui aurait dû se réaliser pour elle. Elle, qui finissait toujours par marcher dans mon ombre, quoi que je fasse. Cette petite chose qui s'effaçait, sa vie qui se diluait, peu à peu.
Alette était ma sœur. De deux ans ma cadette, elle avait toujours été profondément attachée à ma mère. A la suivre, dans chacun de ses mouvements, de ses pas. Dès son plus jeune âge, elle trottinait derrière elle, une immense admiration reflétée dans ses yeux. Mais jamais notre mère ne se retournait vers elle. Jamais elle n'avait prêté attention à elle. En tant que bon gamin capricieux, ça ne m'avait vraiment pas frappé, le fait de la voir seule et ignorée. Ce n'est que lorsqu'un jour je l'ai trouvée, cloîtrée dans sa chambre, le visage ruisselant de larmes, que j'ai enfin fini par percuter. Et dieu ce que je m'en voulais. Chacun de ses sanglots étaient comme des couteaux lancés droit à travers mon cœur, tout comme voir ce corps chétif et tremblant, recroquevillé sur lui-même, avait brutalement ravagé les murailles de mon ego. Ses larmes, des boulets de canon, visant juste sur la seule et unique fissure présente sur les enceintes de ma forteresse. En fin de compte, j'avais plus ou moins la sensation que tout mon monde s'écroulait autour de moi. Depuis ce jour-là, je crois que le roitelet qui prenait un malin plaisir à vivre reclus dans son monde factice s'était peu à peu effacé - et avait vu son cœur gelé rebattre à nouveau.

J'avais toujours eu cette impression qu'Alette était intouchable. Qu'elle était distante. Qu'on était proches, liés par les liens du sang, mais pourtant si éloignés. Si moi j'étais parqué dans mon donjon intérieur, elle, elle tombait loin, trop loin au fond du gouffre. J'étais trop jeune pour me rendre réellement compte de la gravité de la situation, mais je savais que quelque chose n'allait pas. J'avais cette chose indescriptible qui griffait les parois de mon esprit, même si je ne savais pas exactement ce que c'était. De nombreuses fois, je me suis demandé pourquoi je prêtais attention à ce petit bout d'ennui, j'étais trop important pour ça après tout. Un véritable conflit intérieur, entre ma saloperie d'ego et mon rôle de grand frère, qui avait enfin décidé de se réveiller après tant d'années. Ce dernier s'attela à la tâche, et je me surprenais à essayer de la repêcher, la pauvre petite Alette qui dérivait au gré des flots. Parce qu'on m'écoutait, moi. Ils étaient tous là ces idiots, fascinés, buvant mes paroles comme si il s'agissait d'un élixir de vie. Alors, du mieux que je pouvais, j'essayais de retourner l'attention vers elle, de la défendre lorsqu'elle allait mal, de lui procurer ce qui lui manquait tant, de lui tendre une main, maladroitement, en pensant que peut-être je pouvais faire quelque chose. Je ne m'autoproclamais pas sauveur, loin de là. Parce qu'au final ça n'a jamais marché. La seule récompense que j'avais, c'était ces regards froids et durs. Ce regard d'ébène, qu'elle tenait directement de maman. Ironique, n'est-ce-pas? J'avais toujours ce mélange de frustration et d'insensibilité, impossible à drainer, à contenir - et ça me rendait désespérément impuissant. Cette impuissance qui te bouffe, te ruine ton corps et ton esprit, te lèche les os jusqu'à les faire frissonner de douleur silencieuse, tout comme cette arrogance encore trop peu affirmée qui m'entravait dans tout ce que j'expérimentais. Ça avait continué comme ça, pendant des semaines, des mois peut-être. Jusqu'à ce jour là, en fait. Dans mon imperturbable domination, j'avais fermé mes yeux sur ce qui lui arrivait, et avait fini par abandonner quelque peu la tâche que je m'étais attribuée, bien que je continuais à me montrer gentil envers elle, pour éventuellement la ramener à la raison.
Sauf que ça n'avait pas suffi.

Il y avait eu ce cri, ce petit bout de colère, qui avait explosé dans les corridors. La voix de notre mère qui avait éclaté en un hurlement de rage, directement dirigé envers Alette. Tout naturellement, je me suis précipité vers l'endroit où la clameur avait retenti, vers l'un des couloirs où était exposé un des tableaux auquel ma famille tenait tant. Ma mère était là, Alette était là, le tableau aussi, mais couvert de rouge. Et notre génitrice tenait l'arme du crime fermement entre ses mains, une arme qui m'était bien familière, d'ailleurs - vu qu'il s'agissait d'un de mes feutres. J'avais vu clair dans ce qu'il c'était passé, et étrangement, je n'arrivais pas à m'empêcher de m'en vouloir. Si je ne l'avais pas négligée, ça ne serait jamais arrivé. Alors autant réparer mon erreur immédiatement.

« C'est vrai. C'est moi qui l'ai fait. »

Les mots, mes mots sont lâchés, sur un ton calme, sans aucun tremblement dans la voix. Peut-être qu'avec ça, elle allait enfin réagir. C'était probablement la seule chose que je pouvais encore faire pour la sortir de son isolement. Bien entendu, ma mère m'a cru, et c'est moi qui ait tout pris à sa place. Mais je n'en avais réellement rien à faire. Tant qu'elle elle allait bien, rien d'autre ne m'importait. Congédié dans ma chambre, je n'eus d'autre choix que d'attendre. Et ce moment me parut interminable, comme si autour de moi, les secondes défilaient lentement, perceptibles, comme si on pouvait les frôler en levant la main. Elles reprirent leur cours normal lorsque trois coups furent timidement frappés à ma porte. Alors que je l'invitais à entrer, souriant, Alette se tenait devant moi, le regard rivé vers le sol, honteuse, incapable de me regarder en face - puis bientôt, en larmes, lorsque malgré son crime, j'agissais de manière tout à fait normale avec elle. Elle bégaya, criait à qui voulait l'entendre sa confusion, la voix tremblante et emplie d'incompréhension. Et moi, tout simplement, je me levais et la prit dans mes bras. Pour lui transmettre ce peu de chaleur humaine qui parviendrait à la calmer. Pour la rassurer. Lui faire entendre ce qu'elle a toujours voulu entendre. Que j'étais là pour elle. Que je pouvais devenir son monde, si elle le voulait. Et elle n'avait qu'à simplement me le dire.

Scylla ▬ shadows of mass destruction Eva5h
crashed and burned, no we never ever learn ;
Les années passèrent, et avec elles, il y avait ces restes de candeur, cette innocence qui lentement s'est distordue, alors que nous grandissions, tâchée, gâtée par les réalités de l'existence. Mais au fond, on s'en fichait. Parce qu'il n'y avait que nous, dans ce monde. C'était elle, moi, dans une ronde furieuse et continuelle. Autant le faire savoir. Les autres n'étaient rien à nos yeux, et finissaient noyés, dévorés par notre avidité. Piétinés lors de notre glorieuse ascension vers la puissance. On s'était rapidement crée une réputation de fauteurs de trouble, d'emmerdeurs de renom. On finissait tous par nous craindre, nous, les Messine. On était connus et redoutés de tous. Et même si Alette avait toujours son problème d'anorexie, qu'elle avait développé il y a de cela quelques années, cela ne nous ralentissait en rien dans notre force. Notre progression était toujours synonyme de déclin pour les autres, et c'était délicieusement réjouissant de le prouver, encore et encore. De les voir se casser les dents en nous fuyant. De faire voler, valser les convictions en quelques mots, quelques actes, quelques coups. Et ça nous plaisait. Ça ramenait toujours un sourire radieux sur les fines lèvres de ma sœur, qui continuait encore à se battre contre sa maladie, mais qui au final, prenait tout autant de plaisir que moi à voir ces abrutis chuter. J'étais là pour l'épauler, l'aider à reprendre sa route, à tout moment, et prêt à éliminer tous ceux qui s'en prenaient à elle. Les gens avaient beau lancer toutes sortes de rumeurs sur nous, des plus ignobles aux plus idiotes possibles, criant même à l'inceste. Et alors, qu'est-ce que ça peut vous faire? On verra bien si vous allez toujours autant parler lorsqu'on sera passés par là. Quand vous nous verrez, au détour d'un couloir, d'une ruelle, à vous sourire, et au final, vous serez incapable de faire demi-tour. A vous de choisir comment vous voulez finir.

Et puis il y avait eu Molly. Molly Aradia - Circé, comme on l'appelle. La si jolie, douce et angélique Molly, sur qui tout le monde au lycée craquait. Faut dire qu'elle savait y faire, quand il fallait berner les gens. Je l'aurais peut-être respectée si jamais elle n'avait pas commencé à s'approcher dangereusement d'Alette. A s'immiscer entre nous deux, à grands coups de regards charmeurs, de sourires sournois. Elle dansait au bord du harcèlement, et elle savait pertinemment que cela me faisait enrager. Elle écumait, elle brûlait, qu'Alette ne voie que moi dans son monde. Sa dulcinée avait beau l'ignorer, n'étant qu'un fantôme au milieu de la foule, et pourtant elle était là, partout, à la suivre, à nous suivre, dans tout ce qu'on faisait. Une stalker de première catégorie. Elle avait fini par jeter son dévolu sur moi au bout d'un moment, juste pour nous interrompre, nous séparer, en s'arrangeant pour me tirer loin d'elle, parfois au prix d'enrayer nos plans. Et c'est probablement la chose qui me frustre le plus au monde. Personne ne m'arrête dans mes entreprises tordues, ça je peux vous le jurer. Personne ne s'oppose à moi. Rien ni personne. Je brûlais d'envie de les briser, de les réduire en cendres, les deux tourmalines qu'elle avait dans son regard. Et pourtant ça me consumait, ça me dévorait de l'intérieur, cette passion, cette envie, cette sournoise envie, ce tabou banni aux enfers, plus fort même que ces envies de carnages qui m'habitaient. La saloperie d'enchanteresse avait les mots, la beauté, l'intelligence, la ruse, tout pour elle. Je la voulais. Je la haïssais et pourtant dieu seul savait à quel point je la voulais. Inconsciemment je la désirais, mon regard vissé sur chacune de ses courbes, sur ses traits fins et délicats. Je n'avais d'yeux que pour Alette, et pourtant je la désirais. Une flamme s'était allumée au fond de moi et je ne parvenais pas à l'éteindre - à peine à l'atténuer. Comment avais-je pu tomber aussi bas, moi, Evander, le froid manipulateur, le sombre calculateur, qui parvenait à faire tomber ses cibles dans ses toiles, à les bercer, les rassurer, leur faire avaler des mensonges sucrés pour qu'au final ils s'étouffent avec, pour qu'ils tombent à genoux devant moi, devant un dilemme crée de toutes pièces dans une rage inarrêtable, qui les forcerait à pleurer toutes les larmes de leur corps avant de souffrir pour faire leur choix. Putain. Au final, le pauvre animal à la patte coincée dans le piège du chasseur, c'était moi.
Dans cette situation, je n'avais plus qu'à continuer à jouer mon rôle. Si je ne pouvais pas gagner contre elle pour le moment, alors autant affirmer mon joug sur les autres. Choisir qui tombera le premier, et lui arracher tout espoir, le dévorer vivant. Entre moi et Alette, vous avez le choix.

A vous de décider comment vous allez finir.
.

BUT I NEVER EXPECTED TO DREAM THIS MUCH.
« J'ai ouvert les yeux, et puis j'étais là. »

Pseudonyme : Belisaria, mais appelez moi juste Beli c'est très bien aussi.
Sexe : Va falloir payer, attention.
Âge : 17 ans.
Source de l'avatar : Daryl Yan - Guilty Crown.
Comment avez-vous découvert SQE ? Vous remercierez Charles de m'en avoir déjà parlé, et Anna et Nietzsche de m'avoir forcée gentiment montré le forum lors d'une irl.
Des questions, des réclamations ? Que dire sinon que tout est parfait? (et que j'aime Batchou ♥ et le staff et les membres, tout ça.) Si y'a un truc qui ne va pas, je vais essayer de le corriger au plus vite, muhu.
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Pétunia Œ. de Thèbes
Pétunia Œ. de Thèbes
ADMIN - The Original Motherfucker
ADMIN - The Original Motherfucker
Âge : 28
Messages : 354
Date d'inscription : 28/11/2011

Personnage Incarné : Œdipus Rex
Surnom : Fureur
Préface de Cromwell :
Je n'ai pas cru dès lors pouvoir laisser à d'autres le soin d'entendre votre appel, je suis venu à vous moi-même, mes enfants, moi, Œdipe — Œdipe au nom que nul n'ignore.
fichers


VOYAGE AU CENTRE DE LA TERRE
Âge : 24 ans.
Métier : Garçon de café, étudiant.
Que pensez-vous de Noctem ? :
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MessageSujet: Re: Scylla ▬ shadows of mass destruction   Scylla ▬ shadows of mass destruction Empty20.04.12 19:02

Bonsoir et bienvenue sur SQE !

Je. RAAAH. EVANDER. ALETTE. TOO MUCH AWESOMENESS TO FIT IN MY HEA- *explodes*
Bref, je te valide avec bonheur, et n'oublie pas d'amener ton Alette au bal si tu veux pas que Fabula la mange avec de la moutarde à l'ancienne et un brin de persil !!
 
 

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