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 Raiponce - Je crie l'atroce réalité de cette vie de merde qui donne, et qui reprend.

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Blanche R. Jailer
Blanche R. Jailer
« we didn't start the fire »
« we didn't start the fire »
Messages : 59
Date d'inscription : 18/03/2012

Personnage Incarné : Raiponce

VOYAGE AU CENTRE DE LA TERRE
Âge : Vingt ans
Métier : Etudiante en Art
Que pensez-vous de Noctem ? :
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MessageSujet: Raiponce - Je crie l'atroce réalité de cette vie de merde qui donne, et qui reprend.   Raiponce - Je crie l'atroce réalité de cette vie de merde qui donne, et qui reprend. Empty28.03.12 13:29

L’humanité souffre et je souffre avec elle

Raiponce - Je crie l'atroce réalité de cette vie de merde qui donne, et qui reprend. 271095grou
Raiponce - un conte des frères Grimm
Blanche Jailer, comme "prisonnier" en british.
Rarement surnommée Raiponce, mais parfois le fantôme.
Tout juste vingt ans.
Inscrite à la fac d'Art. Un peu touriste malgré sa passion.
Totalement partagée entre le pour et le contre Noctem. Pour la forme, et pour son côté révolutionnaire, nous dirons contre.



Je dégueule sur la facilité des sentiments

Raiponce - Je crie l'atroce réalité de cette vie de merde qui donne, et qui reprend. 208466Sanstitre1
Noctem et Blanche –
La réponse risque d’être terriblement floue, puisque l’opinion de Blanche vis-à-vis de Noctem n’est pas totalement définie. Finalement, son Destin est de finir mariée à son Prince et de vivre avec lui « heureux désormais pendant de longues, longues années de bonheur ». Elle a toutes les raisons de vouloir voir ce Destin s’accomplir, car il s’agit en réalité de son souhait le plus cher. Mais Blanche ne serait pas Blanche si elle n’était pas une accumulation de paradoxes. Le problème avec Noctem, c’est qu’il est le régent de cette société si détestée par la jeune femme. Elle ne le voit que comme un homme se prenant pour Dieu, jouant avec les habitants de Cassandre comme avec des Sims. Disons que, par principe, Blanche est de toute manière contre n’importe quelle forme de dictature. Elle le salue, pour s’éviter des ennuis, avec froideur, toujours.

Son camp et Blanche –
Elle s’en fiche un peu, pour tout vous dire, des autres partageant son opinion.

Son degré d’engagement –
La jeune femme est du genre à avoir des débats animés sur le sujet, sans jamais trop savoir où cela peut la mener. Elle s’en moque, elle exprime tout simplement son opinion assez vague sur la question. Ce cher Noctem ne la privera pas de sa liberté de parole et d’expression.

Sa plus grande peur –
Blanche a peur d’être totalement abandonnée, même si elle a, il faut le dire, toujours été plus ou moins seule. En réalité, ce dont elle a vraiment peur, c’est de la Tour de Raiponce, la Tour dans laquelle elle peut être enfermée et dans laquelle elle s’enferme petit à petit, sans même s’en rendre compte.


Le bonheur est une illusion d'optique

Raiponce - Je crie l'atroce réalité de cette vie de merde qui donne, et qui reprend. 228562Sanstitre3
À nos vies de merde, dans ce monde de merde, qui tire à sa fin.
Conneries. Blanche descend la rue avec assurance, ses pieds confortablement installés dans ses petites ballerines. Elle marche tel un oiseau, plus légère que légère, ses longs cheveux blonds tapant sur le bas de son dos frêle. Sa chevelure d’or a toujours été incroyablement longue, oui, elle n’a jamais aimé la porter courte, à la garçonne. De ses deux grands yeux verts elle balaye l’ensemble de la rue déserte ; de son regard froid et dénué d’expression elle déshabille intégralement ce lieu qu’elle emprunte tous les jours pour rentrer chez elle. Sa bouche rosée se crispe lorsqu’elle croise un groupe de ridicule gars habillés en pingouin reluquant si peu discrètement ses fesses. Blanche est un plaisir pour les yeux, on la mangerait rien que pour son physique de gamine peu pressée de grandir. Ridiculement petite, on ne croirait pas à ses vingt ans qu’elle a malgré elle. Elle est plus frêle qu’une gosse de douze ans, ne possédant pratiquement aucune forme, si ce n’est un petit cul qui régale le regard trop baladeur des hommes, et parfois des femmes. Plus que frêle, elle est maigre, la peau sur les os, et elle emmerde toujours avec sècheresse ceux la traitant d’anorexique. Cela ne vient pas d’une quelconque maladie telle que l’anorexie, simplement d’une morphologie assez effrayante et d’un appétit ridiculement petit. Comme il n’y a rien à mettre en valeur, Blanche n’est pas du genre à porter des habits moulant un buste presque inexistant ; elle préférera toujours les chemises, les tuniques, ou autres tee-shirt amples qu’elle aime porter avec de simple jeans slim, ou encore des collants de couleur. De couleur. Etonnant pour une jeune femme portant une pâleur extrême sur son visage et tant d’obscurité dans son regard nonchalant.
Conneries. Blanche s’arrête brusquement devant une vitrine, sa sacoche en cuire venant nerveusement à l’encontre de sa cuisse maigre. Elle ne porte aucune attention aux produits se trouvant derrière le verre, c’est son reflet qu’elle observe en silence. Ce qu’elle voit, c’est que vous venez de voir à travers mes mots quelques lignes plus haut. Et pourtant, Blanche se dévisage avec un profond dégoût, un mépris sans pareil, et son crachat vient s’abattre contre la vitrine, comme pour exprimer la haine qu’elle porte à sa personne, à ce qu’elle est, à ce qu’elle a toujours été. Elle lâche sa cigarette à peine consumée, tant tout son être lui parait ridicule. Et la jeune adulte paraissant enfant s’enfuit dans la rue comme une hirondelle au cœur de corbeau s’envolant sans bruit.


Mieux vaut être indifférent et digne que malheureux et pathétique.
Conneries. Blanche ouvre la porte de son petit appartement, essoufflée de sa course poursuite contre elle-même, jette sa sacoche sur la chaise avant de jeter son corps sur le canapé. Elle habite seule, et se complait dans le silence pouvant paraître pesant de l’endroit. Autant le dire d’emblée, Blanche n’est pas le genre de filles collectionnant les amis comme les cartes Pokemon, ou s’entourant d’une foule de ce qu’on pourrait appeler « connaissances » qu’elle juge inutiles. Loin d’être misanthrope, elle est exigeante envers les autres, voire plus qu’elle ne peut l’être pour elle-même. Certainement parce qu’elle a peur, peur d’être déçue ou abandonnée. Mieux vaut être seule que mal accompagnée, comme peut le dire le dicton. Et d’aussi loin qu’elle se souvienne, cela a toujours été le cas. Certains diront que cela peut remonter d’un traumatisme durant son enfance, du fait qu’elle n’ait pas connu ses parents, et que, comme tous les enfants adoptés, elle serait à la recherche d’une identité. A vrai dire, Blanche s’en est toujours moqué de savoir quel adolescent en rut a bien pu fourrer son engin dans quelle pauvre petite conne, et dans quelles conditions cela a bien pu se passer. Tout ce qu’elle sait de ses géniteurs, c’est que c’est à cause d’eux si elle est là, étendue sur son canapé à écouter le bruit de sa respiration se calmer doucement. Céline l’a adopté, car elle était trop vieille pour être mère et trop jeune pour être grand-mère, trop absente pour être mère et trop peu gentille pour être grand-mère. Blanche ne l’a jamais appelé que par son prénom, ne se considérant pas assez proche d’elle pour l’appeler « maman » ou d’autres conneries dans le genre. Leur relation se limitait à signer les autorisations de sortie, donner l’argent de poche, et se prendre des réflexions sèches lorsque la jeune fille rentrait après minuit. La seule véritable chose que Céline faisait pour son enfant adoptif, c’était lui brosser les cheveux. Pendant deux heures, parfois même jusqu’à ce que la petite s’endorme. En manque de reconnaissance paternelle et d’affection maternelle, on ne peut que se retourner vers soi-même. Blanche s’est, elle, enfermée durant toute son adolescence dans les musées, pour se retrouver seule face aux grands artistes de tous les temps. Car personne n’était plus apte à la comprendre que ces immenses toiles se dressant devant sa minuscule carcasse. L’art a été son sauveteur, son échappatoire, sa raison de vivre. Son héros, face à ce monde de merde touchant à sa fin. Blanche s’est toujours sentie seule à comprendre la cruauté et la stupidité de cette société dans laquelle chacun semble évoluer sans se rendre compte de rien. Et tout vient de là. C’est un immense bras d’honneur que la jeune femme fait au monde en ne se conformant pas à ce qu’on attend d’elle, en refusant de rentrer dans le moule de cette vie corrompue, selon elle. Elle a toujours été animée par ces envies de rébellions tellement refoulées qu’elle en a développé ce regard noir, cette absence de sourire, et cette antipathie apparente. Au fond, ceux qui la connaissent relativement bien savent pertinemment ce qui se cache derrière cet air blasé. C’est une rancœur profonde pour cette vie dénuée de sens, une montagne de questions sur le sens de l’existence même, et une fragilité se camouflant derrière une répartie impressionnante. Blanche, tu fais la fière, Blanche, tu fais la forte, Blanche, tu fais la rebelle. Mais regarde-toi. Le fait qu’elle est Raiponce, elle le sait depuis ses sept ans, lorsque la maîtresse d’école a lu à la classe ce conte des frères Grimm. Etrangement, dès qu’elle a entendu les mots voler dans l’air pour parvenir à ses oreilles, elle a su. Tout. Ses longs cheveux, la tour que représentait Céline, les parents absents, son Destin. Elle s’était rencontrée elle-même, s’était retrouvée face à sa destinée, à seulement sept ans. Et donc, depuis ses sept ans, elle fuit la Tour.
Conneries. Ainsi, sortant d’une période de plusieurs années à se complaire dans le silence de ses amis les peintres, elle s’est inscrite en fac d’histoire de l’art, tremblant intérieurement de joie de pouvoir enfin exprimer et voir exprimé ses idées révolutionnaires à travers l’art. Déception particulière lorsqu’elle se rendit compte que les cours d’amphithéâtre se résumaient à un bourrage de crâne et à une destruction la plus totale de ce qu’elle avait cru voir pendant toute son adolescence dans tous ces tableaux. Elle n’y va désormais que pour la forme, pour ne pas être virée, et pour les cours de dessins.


La vérité c’est qu’on s’emmerde profondément parce qu’on a plus rien à désirer.
Conneries. Blanche se lève nerveusement et regarde la toile blanche exposée à la lumière depuis trois jours, à laquelle elle n’a pas touché depuis son installation. L’inspiration ne lui vient pas, les pots de peinture restent fermés et les pinceaux secs. Elle s’allume une cigarette en fouillant un peu partout dans son appartement, de plus en plus intensément, retournant les tiroirs et laissant s’échapper quelques « putain, putain » de ses lèvres roses. La jeune femme met enfin la main sur une pochette transparente remplie d’un simple liquide. Garrot effectué, aiguille plantée, perfusion installée. Blanche se laisse tomber dans son canapé en soupirant, sentant la morphine parcourir ses veines doucement, tirant une dernière latte sur sa cigarette qu’elle laisse tomber sur le parquet tandis que sa tête se balance d’elle-même en arrière. L’habitude qu’elle a de se droguer ainsi remonte du milieu de son adolescence. Céline étant infirmière à domicile, elle avait tout ce qu’il fallait à la maison, et ne se rendait même pas compte que sa fille adoptive lui piquait sa morphine en douce. Pour oublier les milliards de questions qu’elle se posait, pour oublier son mal de vivre, pour oublier son côté révolutionnaire et rebelle, pour oublier qui elle était vraiment, pour oublier le rôle qu’elle avait à jouer dans Cassandre et son Destin. Puis pour oublier Salinger. Car dans tout conte il y a une histoire d’amour, plus ou moins belle, plus ou moins agréable, plus ou moins douloureuse, plus ou moins réciproque. Et ce, toujours organisée ou manigancée par le hasard, ce salaud.
Conneries. Ce soir-là, on lui avait donné rendez-vous dans un bar, quelque part dans Cassandre, pour prendre un verre avec une amie avant de se rendre dans une soirée assez conséquente, certainement le genre de rave party où des hordes de mâles viennent chercher à noyer leur ennuie dans l’alcool, la drogue, et le sexe de sympathique petite mineurs donc Blanche faisait partie à l’époque. Dix-sept ans, ses cheveux trop blonds et trop longs pour être vrais tombant en cascade sur ses épaules nues, dévoilées par un haut bien trop large pour elle, une touche légère de maquillage, un mojito entre les mains, une cigarette à la bouche, un soupir toute les cinq minutes, et une impatience se lisant sur son regard haineux posé sur son téléphone. Une demi-heure qu’elle attendait son amie, une demi-heure qu’elle se faisait chier comme jamais à écouter de l’électro qui passait en musique de fond, jusqu’à ce que deux agents de sécurité arrêtent un pauvre homme qui se tenait simplement là, certainement au mauvais endroit au mauvais moment. Un autre client vint s’asseoir aux côtés de Blanche qui le dévisagea avec sa désinvolture habituelle. Chemise et cravate, cigarette, bloody mary, cheveux noirs, manches légèrement remontées, environ la trentaine. Bref, un péteux salopard venu déranger la solitude complaisante de la jeune fille. Un connard au sourire trop hypocrite et trop intéressé pour être intéressant.


▬ Pourquoi ont-ils emmené ce type à votre avis ?
▬ A cause d’un vendu dans votre genre ?
▬ Les gens sont crédules, non ? Et si ça avait été vous, assise à sa place ?

Finalement, la première impression avait été la bonne. Un péteux salopard. Avec mépris, les yeux de Blanche se posèrent sur l’inconnu, une lueur noire au fond de son regard émeraude. Il l’énervait, lui et son sourire presque poli rendant ses paroles encore plus insupportables qu’elles ne pouvaient l’être. Evident que ce connard avait dénoncé le pauvre innocent, qui d’autre aurait bien pu le faire ? Son sang bouillonnait face à un tel individu qui était, à vrai dire, l’opposé de sa personne. Pour un peu, elle lui aurait vomi dessus. Mais un tel culot l’amusait, quelque part.

▬ C'est sa tête qui ne vous revenait pas, ou la chaise sur laquelle il était assis ? Peu importe, n'est-ce pas ? Tant que ça vous empêche de vous ennuyer. Connard.
▬ Le pire connard, c'est lui qui s'ennuie ou moi qui m'amuse ? L'ennui est la pire source de connardise au monde, très chère. Et vous, vous êtes sans aucun doute la pire des connasses.
▬ Une connasse qui vous trouve méprisable et qui vous demande sincèrement d'aller vous faire foutre.

Blanche se leva, assez doucement, et après avoir déposé un billet sur sa table, elle se dirigea vers la porte, son paquet de cigarette à la main. Elle ne pouvait rester plus longtemps, l’inconnu la mettait mal à l’aise et allait la rendre folle. Mais elle ne put s’empêcher de faire demi-tour, ses cheveux valsant au passage.

▬ Simple curiosité, généralement, ça marche comme technique de drague ?
▬ Simple curiosité également, vous comptez vous éclater ce soir ?

Et l’inconnu s’en alla et quitta son champ de vision, laissant derrière lui une odeur agréable qui allait jusqu’à aujourd’hui hanter la vie de Blanche. Elle n’avait pas encore conscience qu’elle le haïssait d’amour, qu’il l’avait eu, que son sourire irritant avait conquis son cœur de pierre, que ses dires de salaud avaient donné à la jeune fille envie de lui comme elle n’avait jamais eu envie d’un homme. Elle prenait cela pour de la simple haine. C’est con, entre l’amour et la haine, il n’y a qu’un pas. Il a fallu qu’elle le recroise dans la même soirée, à cette rave où elle ne voulait pas aller. Et il a fallu qu’ils se sautent dessus au premier coup d’œil, qu’elle découvre pour la première fois le goût de ses lèvres, qu’il lui arrache ses vêtements et qu’il fasse la rencontre intime de chaque partie de son maigre corps enfantin. Il lui a dit ce soir-là des mots doux sur l’oreiller, des mots qu’elle a crus juste de prendre à la lettre et de retenir. Des mots auxquels elle a répondu, parce que le coup de foudre ne se contrôle malheureusement pas. Et que finalement, l’inconnu nommé Jérôme Salinger était le Prince venu la délivrer de sa Tour.

Je t'aime pas, je t’ai jamais aimé. Regarde moi, j’ai une tête à t’aimer ?
Conneries. Sûrement que les murs de la Tour n’ont jamais été plus proches d’elle qu’en ce moment, et ce depuis qu’elle a rencontré Salinger. Parce que malgré elle, malgré leur différence d’âge, elle voue à cet homme un amour inconditionnel. On amour non partagé, un amour avec lequel il joue avec son sourire narquois et ses yeux rieurs. Elle aimerait se refuser à lui à chaque fois qu’il sonne chez elle et qu’il la plaque contre le mur, elle aimerait le frapper à chaque fois qu’il s’en va le matin sans lui dire au revoir, elle aimerait le tuer pour toutes les fois où il ne l’a pas rappelé. Elle se contente de subir la situation, désirant tellement au fond d’elle qu’un beau jour ses dires soient vrais, sincères, ce qu’ils n’ont jamais été. Et Raiponce s’enferme à double tour dans sa Tour matérialisée par la morphine qu’elle s’injecte tous les soirs, encore et toujours pour oublier ce salaud qui lui a semblé si méprisable au premier abord. Et lorsqu’elle se donne à d’autres hommes, par désespoir, par ennuie de Jérôme, elle n’a que son visage, sa peau, ses angles et sa voix en tête. Puis il y a Victor, le meilleur ami de Salinger. La raison de leur amitié reste un mystère pour Blanche, tant ils sont différents l’un de l’autre. Victor est droit, bon et pourvu d’une intelligence déraisonnée. C’est son amant qu’il l’a emmené chez lui pour la première fois, et il faut croire qu’ils ont particulièrement accroché. La jeune femme est revenue, une fois, puis deux, puis une centaine. Parce qu’elle a trouvé en ce riche avocat quelqu’un comprenant sa frustration intérieure vis-à-vis du monde, de la société, et de Jérôme. Quand elle panique, seule, chez elle, elle traverse la ville pour se rendre à sa demeure, peu importe l’heure ou le temps qu’il fait. Parce que Victor lui a toujours ouvert sa porte, et que contrairement à la plupart des gens, il est intéressant.

Conneries. Blanche est le héros romantique du XVIIIe siècle au féminin, tourmentée par ce qu’on attend d’elle, et par ce qu’elle attend des autres. Une petite princesse qui détient la clé de son Donjon, persuadée que seul son Prince peut lui rendre sa liberté.


They said I could be anything, so..

Raiponce - Je crie l'atroce réalité de cette vie de merde qui donne, et qui reprend. 359598Sanstitre2
Jool, ou Arpy.
Sexe de taille moyenne.
Seize ans mais j'ai des gros seins.
La tête de Blanche vient de cette galerie.
J'ai été enrôlée par la grande Sissi (Victor Hugo)
Euh, ce forum est vraiment trop cool, et genre je vous hais de me donner autant envie de RP. Ah, et aussi c'est la première fois que j'fais un perso en mode la vie c'est le bad comme ça. Et citations dans la fiche tirée du film Hell.

 
Pétunia Œ. de Thèbes
Pétunia Œ. de Thèbes
ADMIN - The Original Motherfucker
ADMIN - The Original Motherfucker
Âge : 28
Messages : 354
Date d'inscription : 28/11/2011

Personnage Incarné : Œdipus Rex
Surnom : Fureur
Préface de Cromwell :
Je n'ai pas cru dès lors pouvoir laisser à d'autres le soin d'entendre votre appel, je suis venu à vous moi-même, mes enfants, moi, Œdipe — Œdipe au nom que nul n'ignore.
fichers


VOYAGE AU CENTRE DE LA TERRE
Âge : 24 ans.
Métier : Garçon de café, étudiant.
Que pensez-vous de Noctem ? :
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CONNERIES.
Pardon, c'est contagieux.

Bref. Bonsoir et bienvenue sur Sum Quod Eris, jeune Jool !
Agréable surprise, je ne m'attendais pas à m'attacher autant à Mademoiselle Jailer au fil de la lecture, à la fin de la fiche j'ai fait « ooh. mais. mais non. j'en veux encore. mais. mais. oooh. », du coup, je te valide vite vite histoire de pouvoir profiter vite vite de tes rps. hihihi.

Et puis, hihihi, n'oublie pas l'invitation de Noctem au bal. hihi.
 
 

Raiponce - Je crie l'atroce réalité de cette vie de merde qui donne, et qui reprend.

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