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 Monologue de la chaise • Arrrrrrrrrrrrristide

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William Shakespeare
William Shakespeare
« words are my big obsession »
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Personnage Incarné : SHAKESPEARE HANHAN.
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Préface de Cromwell : PARCE QUE J'AIME LES RELATIONS TORDUES COMME MOI

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MessageSujet: Monologue de la chaise • Arrrrrrrrrrrrristide   Monologue de la chaise • Arrrrrrrrrrrrristide Empty08.05.12 0:53

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Spoiler:


    — LAISSEZ MOI SORTIR DE LA PUISQUE JE VOUS DIT QUE JE N'AI RIEN FAIT J'AI SIMPLEMENT RENDU UNE JUSTICE MEILLEURE SUR CE MONDE POURQUOI VOUS NE VOULEZ PAS ME CROIRE ET PUIS LÂCHEZ MOI ESPÈCE DE MAROUFLARD VOUS ME FAITES MAL NE VOUS A T ON PAS APPRIS LE RESPECT DANS VOTRE PROFESSION ? NON ? AH ! GARDIEN DE LA PAIX, FAITES MOI RIRE, VOUS NE VIVEZ DANS UN MONDE QUI N'ARRANGE QUE VOUS ET VOTRE JUSTICE EST VOILÉE DE LA SUBJECTIVITÉ DONT VOUS FAITES PREUVE BANDE DE MÉCRÉANTS VOUS DEVRIEZ AVOIR HONTE DE PORTER CE TITRE ESPÈCE DE -
    — Mettez le au cachot.



Et les portes se refermèrent sur lui.
Il se releva, jeta ses poings contre les barreaux de fer, donna des coups de pieds, hurla à ne plus en pouvoir, se frappa la tête contre le mur, jusque à qu'un officier arrive pour le menotter et le ligoter à une chaise pour qu'il reste tranquille. Malgré ça, il trouva quand même le moyen de trop gigoter sur sa chaise, aussi, il tomba à terre, les murs résonnant toujours de sa voix de crécelle, et le cher gardien de la paix dût l'attacher sur une chaise aux pieds attachés aussi la chaise ne pouvait pas bouger cqfd.
La vérité ? Monsieur avait simplement trop bu.
Et donné un coup de poing à quelqu'un qui avait piqué sa paille pour l'enquiquiner.

Oh, cela aurait pu être drôle, si il s'en était arrêté là. Or, c'était le verre de trop. William s'était levé, avait réclamé sa paille. Non. Alors, il décida de la récupérer par la force, avec le peu de moyens qu'il avait. Lorsque la police était venu les séparer, il s'était débattu, avait hurlé, craché, tapé ; il fut embarqué au commissariat, et refusant de se calmer, il allait finir sa nuit dans cette cellule sombre et froide.
On raconte que dans la rue, la voix du jeune homme résonne encore, hurlant sans cesse : "MA PAIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIILLE".

La porte se verrouilla une nouvelle fois, ne laissant qu'un goût amer dans la bouche du pauvre auteur. Cependant, il ne se découragea pas, continuant de hurler, espérant ainsi provoquer l'agacement des officiers, qui alors se verraient obligés de le libérer s'ils ne voulaient pas le laisser réveiller ainsi toute le quartier.
Cela dura une majeure partie de la nuit. Au bout d'un moment qui parut interminable, un officier vint le sortir de sa cellule pour lui parler d'une caution à payer afin de voir l'air libre. Il se dit tout d'abord que Friedrich pourrait la payer, mais il se rappela que monsieur était un clochard de premier ordre donc que cela était impossible, et qu'en plus il aurait à supporter ses remarques - qui étaient insupportables. Il soupira. En toute logique, il devait donc la payer lui même ; le problème n'était pas l'argent, non, ça William n'en manquait pas, loin de là, mais... Comment rentrer chez lui ? Dans la nuit noire ? Sans sa paille ? Tant d'interrogations sinusoïdales anachorètes et hypocondriaques (PLZ REFERENCE REFERENCE) étaient de trop pour lui. On le fit asseoir dans une autre pièce, il ne broncha pas. Il entendit qu'on allait chercher un autre détenu, qui devait lui aussi payer une caution, et on le laissa seul avec un dernier soldat.

Soupir. Encore.


    — J'ai soif. Apportez moi à boire. Et avec une paille, je vous prie.



L'officier haussa un sourcil interrogateur (évidemment sinusoïdal anachorète et hypocondriaque lui aussi, bien sûr) et se contenta de secouer la tête en signe de dénégation - ce qui provoqua chez William une montée de colère qu'il maîtrisa bien sagement, se rappelant que sa sortie ne tenait qu'à sa belle bouche qu'il tiendrait fermée et son chèque. Soudain, la porte claqua, suivie de bruits de pas. Will se retourna brusquement (on put entendre l'officier beugler d'un ton qui se voulait autoritaire "RESTEZ TRANQUILLE OU BIEN VOUS RETOURNEZ EN CELLULE CECI N'EST PAS UN SPECTACLE VOUS VOUS ETES CRU AU CIRQUE OU BIEN ?") pour voir son nouveau compagnon de galère.

Enfin. Il le trouva drôlement flou, et plutôt tangent, ce qui eut tendance à l'agacer - encore - aussi préféra il détourner le regard. Ses doigts tapotèrent sur son genou d'un air impatient, pressé de pouvoir enfin sortir d'ici et rentrer retrouver son petit lit douillet d'une manière ou d'une autre, non sans peine. Les vilains emmenèrent le nouveau s'asseoir près de Will, les regardèrent, secouèrent la tête simultanément d'un air désespéré (spécialité locale), et déclarèrent qu'ils allaient chercher les papiers nécessaires à leur sortie, et qu'en attendant ils devaient rester sages. Le jeune homme soupira, songeant que tout de même, ils n'étaient point des enfants de primaire, et que si ces officiers étaient aussi cyniques et hautains, c'est certainement qu'ils devaient être des personnages peu connus, quelque chose du genre, et à cette pensée, il se gonfla d'une bouffée d'orgueil. Puis ils quittèrent la pièce.

A ce moment, il se tourna à nouveau vers son nouvel ami (oui il l'avait décrété ainsi), le regarda de haut en bas, d'un air intrigué, et eut un sourire compatissant.


    — Vous aussi, ils vous ont ligoté ?



Oh, certainement pas, mais cela paraissait être la seule raison plausible pour Will de sortir aussi tard. Encore une victime d'un voleur de paille, sûrement.


    — C'est une honte, vous vous rendez compte ? Moi, William Shakespeare, ligoté sur une chaise elle même attachée au sol par je ne sais quelle sorte de magie noire - j'en toucherais un mot pour qu'on fasse brûler ces gens pour sorcellerie -, est ce une manière de traiter les nobles gens ainsi ? Ah ! Décidément, plus personne n'a la notion de respect dans cette ville. On est allé jusque à voler ma paille au bar. Ma paille, rendez vous compte ! Un bien fort précieux que quelqu'un s'est empressé de me dérober. Alors j'ai rendu justice moi même, si les étoiles ne pouvaient le faire, mais hélas ! Les voilà intervenus pour m'emmener de force dans ce lieu lugubre. Non mais rendez vous compte ! C'est une honte ! Il n'y a plus aucune justice. C'en est navrant. Je comprends que vous aussi, vous avez dû être victime d'une honteuse injustice. Mon pauvre ami...! Nous voilà bien.



Ah, pauvre Will, apprendrais tu un jour à comprendre que la magie n'existe pas, même dans les moments les plus beaux ? Pour l'instant, tu te contentes de le regarder en souriant.





(titre random pardon) (image encore plus random pardon) (rp pourri pardon)
 
Aristide S. Fylosofy
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MessageSujet: Re: Monologue de la chaise • Arrrrrrrrrrrrristide   Monologue de la chaise • Arrrrrrrrrrrrristide Empty08.05.12 16:16

You don't have to say you're sorry save you sympathy.
With a friend like you I don't need an enemy


Il y avait cette lumière qui s'ancrait dans le fond de sa cornée, ces gris qui découpaient la nuit dans la camionnette blanche sous le regard des deux agents de police qui le défigurait plus qu'autre chose avec leur rire étouffé. Il lui restait le vague nom d'un bar, sur la sortie Nord de Cassandre, quelque chose que Macou ou Macouba, à vrai dire, il y avait un tel remue-ménage dans sa carcasse qu'il arrivait difficilement à fixer ses pieds sans ce dire qu'ils ressemblaient à des patates géantes. Il arriva difficilement à comprendre la conversation des deux agents, trop embrumé dans l'alcool pour comprendre quelque chose d'autre qu'un langage papou ou une autre connerie dans le genre. De toute façon, il n'avait jamais appris le papou, et de cette image, il ne pouvait que penser à deux singes qui débâteraient sur l'appartenance d'une banane. Oui, Aristide, tu avais vraiment trop bu.

Quinze minutes avait duré le trajet et il fallu bien la force des deux hommes pour réussir à le sortir de son camion, l'Aristide, totalement à l'ouest, près à ce prendre la marche du véhicule dans la gueule s'il n'ouvrait pas assez bien les yeux d'adulescent ayant un gros problème avec l'alcool. Non, il ne rata pas la marche cette fois, par la puissance de Roger et Henry il pu convenablement arriver devant la porte où brillait capitalement « Gendarmerie ».


– Ah..tendez. Je suis sôôbreeux. Maugréa-t -il, essayant de se dégager de la force colossale de singe 1 et singe 2. Mais ce fut peine perdue. De un parce qu'il n'avait pas une once de muscle dans ce corps flasque. De deux parce qu'en vu des grammes d'alcool qui courraient actuellement dans le corps du philosophe, il aurait très bien pu s'imaginer un trip avec un mec qui gueule en demandent une paille, ça n'aurait rien changé.

Des tests. Bonjour monsieur. Vous êtes un peu grognon non ? Ah, arrêtez de bavez sur ma chemise voyons ! Germaine ! Je crois qu'on a chopé un nymphomane alcoolique. Oui oui, roh, on peut bien rire de vous, regardez comme vous êtes, il est beau votre état hein. Bon, votre nom ? Ar..Armistice ? Déconnez pas avec moi, mon père a fait la guerre okay ?! Alors ? Ar...armegtrtetgr ? ...Je suis septique. Non mais mon oncle Roger, d'ailleurs que vous avez vu là. Bah viens expliquer Roger. Ouais, donc comme le disait Michou, moi j'en connais des Arlegroegteu. Et les Arlegroegteu, ils n'ont pas du tout votre visage monsieur. Des amis intimes, les potes de ma femme quoi. Roh. Bon, ils viennent ces tests ? N..Non monsieur vous ne pouvez pas embrasser ma main comme ça ?! Vous vous croyez où ?!

– Plus de 3 grammes ?! Et bah. Fouttez le avec l'autre et sa paille.

Une longue traversée du couloir, de la bave sur sa chemise, les pieds traînant comme un animal blessé, Aristide arrive finalement dans une pièce à peine éclairée. Trouvant refuge sur une chaise inconfortable à souhait, il s'assoit, plaçant sa tête dans ses mains, fermant les yeux. Concentration. Qu'est-ce qu'il s'était passé pour que tu te retrouves ici ? Un verre de trop en vue de l’état de tes vêtements. Toi qui avait promit de ne plus toucher à ça, tu te retrouves cinq mois en arrière, la gueule totalement déchirée, les yeux dans le vide et cette mâchoire que tu n'arrives plus à fermer tant l'alcool a prit le contrôle sur tes nerfs.

Vous aussi, ils vous ont ligoté ?

Hein ? Tu balances ta tête sur la droite, la tenant toujours entre tes mains, ayant trop peur qu'elle aille s'écraser sur le sol si tu ne fais pas attention. Tiens, un autre type est dans le cachot, t'avais même pas capté. Tu veux bien lui répondre, mais tu sais pas si tu t'en sens capable en fait. Alors tu fais ce geste flou que tu fais toujours quand t'es totalement mort : tu pointes le mec et tu secoues ton bras. Dans un geste qui veut donc dire non. Même totalement bourré, tu ne sais pas communiquer.

C'est une honte, vous ***** compte ? Moi, William *****, ligoté sur une chaise elle même attachée au sol par je ne sais *** magie noire - j'en toucherais un *** pour qu'on fasse *** ces gens pour sorcellerie -, est ce une manière de*** les nobles gens ainsi ? Ah ! Décidément, plus personne n'a la notion de *** dans cette ville. On est allé jusque à voler ma *** au bar. Ma paille, rendez vous compte ! Un bien fort **** que quelqu'un s'est empressé de me dérober. Alors j'ai rendu *** moi même, si les étoiles ne pouvaient le faire, mais hélas ! **********************************
*******************************************


Fin de la transcription. Tu lèves le regard vers ce gars, que tu ne connais pas vu que t'as pas compris son nom, mais qui te fais véritablement mal à la tête à force de parler comme un dératé à toute vitesse. En plus, de ce que tu as compris, ça tourne tellement pervers que tu te dis que soit, t'es vraiment bourré, soit ce gars te fait de supra avance de malade. Enfin, tu passes une main dans tes cheveux, réussissant à relever la tête pour la lancer en arrière, fixant le plafond qui tourne encore.

– Excusez-moi, vous pouvez un peu parler moins fort ? J'ai vraiment trop forcé cette nuit pour arriver à comprendre ce que vous aviez dit. Mais, je crois que vous aviez dit votre prénom. Donc, bonjour...William ? Ici Socrate.

Tu souris pour la première fois en trois siècle, plaçant ta main contre tes yeux.

– Ne faites pas attention, j'ai vraiment un gros coup dans le nez. D'ailleurs, vous me faites penser à un ancien collège monsieur William. Un gars qui parlait tout le temps. Je vais vous retrouver son nom de famille. Attendez.


Baltazar ? Hermon ? Cruz ? Catsan ? Penelope ? Où est-ce que tu l'as rencontré ce gamin....Sans doute au club ? Possible, un gamin comme toi suivant des cours pour arrêter de boire, ça court les rues à Cassandre.

– Shakespeare je crois. Une connerie dans le genre.




bonjour. c'est weird. au pire. on tape dans le wtf hein 8D
 
William Shakespeare
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MessageSujet: Re: Monologue de la chaise • Arrrrrrrrrrrrristide   Monologue de la chaise • Arrrrrrrrrrrrristide Empty05.06.12 16:02


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T'as pas tout suivi de ce qu'il a dit, mais t'as compris une chose, et là, tu te sens comme une jeune pucelle de quinze ans à un concert de Tokio Hotel : tu parles à Socrate. Alors toi, dans ta tête, tu te sens plus, tu te dis "OMDDDDDDDD JE PARLE A SOCRATE QUOI SOYEZ PAS JALOUSES LES MEUFS HIHIHI SOCRATE QUOI OMDDDDD" (en plus raffiné évidemment) (*fangirl phase 1*) mais bon comme tavu t'es pas n'importe qui tu te contentes de sourire poliment et d'acquiescer d'un léger signe de tête.


    — Ne faites pas attention, j'ai vraiment un gros coup dans le nez. D'ailleurs, vous me faites penser à un ancien collège monsieur William. Un gars qui parlait tout le temps. Je vais vous retrouver son nom de famille. Attendez.



Et puis là, il te sort Shakespeare.
Tu continues de sourire poliment.


    — William Shakespeare ? Comme c'est drôle, ça me fait penser à quelqu'un, mais en tout cas, une personne qui ne sait tenir sa langue ne mérite aucun respect, si ce n'est pour s’épancher en paroles inut...



Silence lourd. Il toussote.


    — ... Mais c'est moi ?



Il ne s'offusqua point du fait qu'il l'ait décrit comme quelqu'un qui ne cessait de parler, puisque ça venait de Socrate (*fangirl phase 2*) et se contenta de le regarder avec des yeux brillants d'admiration. Le seul lien qu'il réussit à faire fut qu'apparemment ils se connaissaient de quelque part ("HIIIIIIII JE CONNAIS SOCRATE" *fangirl phase 3*), ce qui le ravit au plus haut point.
Au bout d'un certain moment, les gardes revinrent avec des papiers en main, regardant les deux compères sourire, et décrétant que deux personnes en état d'ébriété avancé n'avaient pas le droit au bonheur, ils jugèrent bon de leur gueuler dessus afin qu'ils effacent cet air imbécile de leurs visages ("NON MAIS C'EST QUOI CETTE ATTITUDE VOUS TROUVEZ ÇA DRÔLE DE VOUS RETROUVER AU POSTE DE POLICE DE MARIOLES ? ET TOI LA AVEC TON AIR NIAIS TU TE CROIS DANS GUIGNOL ?") (Monsieur faillit répliquer qu'ils n'étaient rien d'autre que de vulgaires personnages et qu'ils n'avaient aucun droit de leur parler de la sorte car l'homme est libre et cette liberté est inaliénable mais il se retint en pensant à sa sortie prochaine du trou en se promettant de leur jeter une malédiction sur leurs familles et leurs chats.)

Puis ils leur tendirent les papiers quant à leur libération sous caution, et soupirant car cela allait lui faire perdre de l'argent - car oui, William Shakespeare avait beau être incroyablement fortuné il était également incroyablement radin - il signa rapidement et se leva. Il se tourna vers son malheureux compagnon de guerre, sembla réfléchir durant quelques secondes, puis se pencha vers son oreille malgré les protestations vigoureuses des deux gorilles afin de lui murmurer quelques mots.


    — Si vous me raccompagnez chez moi, je signe votre caution.



Un sourire machiavélique s'inscrit sur son visage.


    — C'est une occasion en or, vous devriez en profiter... Et puis ainsi, nous pourrions faire plus ample connaissance.



Et il lui fit un clin d'oeil qui se voulait ravageur - mais qui rappelait davantage la grimace d'un bossu. Oui, il y avait de quoi prendre peur.







(c'est couuuuurt pardoooon ;; )
 
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