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 she's lying under ghosts and calls

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Blair M. Worthington
Blair M. Worthington
« i've been kicked around since i was born »
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Âge : 29
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Date d'inscription : 24/06/2012

Personnage Incarné : bloody mary.
Surnom : mary.
Préface de Cromwell : red snapper.

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MessageSujet: she's lying under ghosts and calls   she's lying under ghosts and calls Empty22.07.12 21:32

détruire détruire,
toujours dit-elle, saboter l’œil universel.

personnage incarné bloody mary.
nom prénom blair marilou worthington.
surnom elle aurait voulu qu'on lui dise "mary", et puis laver ces taches sales qui brunissent sur son joli prénom de vierge maculée. on lui a dit avec des sobriquets sanglants que c'était trop tard.
âge 19 ans.
métier coiffeuse. l'on craint parfois pour son cuir chevelu à cassandre.
camp blair a toujours été si froide, si désincarnée. elle n'a pas de destin. elle aime bien noctem.


la folie dans les yeux
des monstres délicieux qui traversaient ta porte.

noctem et vous On a tellement peur de se tromper en souriant à roi Noctem. En écoutant ces histoires de destins croisés qui sont des jeux, et puis des fils, des fibres minuscules, ou bien de tous petits cordages qu'il tire avec ennui. Avec les Tin et les Hydes qui tombent sur la table, et tous ces sombres scénarios, et tous ces quartiers qui ne sont plus sûrs.
votre camp et vous Ce n'est pas que Marilou est seule ; c'est que Blair terrifie. Il y a toujours quelque chose qui nous grève le cœur ou le fond des boyaux quand on est près d'elle. C'est la hantise de voir Bloody Mary couler du miroir et nous fondre à la gorge. Vraiment, tous ont peur de Blair, et Marilou en est inconsolable.
votre degré d'engagement Favorables ou non, les Cassandrois ont tous des cheveux. Elle se contente d'y passer le peigne. Peut-on appeler ça un engagement capillaire ?
votre plus grande peur Devenir celle de Molière.


j'ai volé mon âme à un clown
un cloclo mécanique du rock'n'roll cartoon.

Le sang qu'aurait fait couler Marie se coagule dans sa tête.

Vraiment, elle ne s'en souvient pas, peut-être que ça n'a jamais existé, elle se dit en regardant son visage blanc crayeux dans le tain du miroir. Elle se dit que ça n'a pas pu être vrai. Ce qu'ils disent, tout ça. Elle dit qu'elle n'a pas vu la légende, les deux cierges qui meurent et treize fois son nom dans les vapeurs imaginaires. Elle dit que ça vaut pas la peine, tout ces spectres, ces pöltergeists cradingues qu'il s'inventent pour faire cauchemarder les mômes, pour voir les petits se pisser dans le froc dans la moiteur d'une salle de bain, et se faire hanter par un mirage bâtard. Traquenard. Effet placebo.

Tout dans son pénible reflet lui dit que les choses sont autres. Et puis ensuite le contraire, et puis enfin qu'elle se fait croire des mensonges convaincus. Qu'elle ne voit que ce qu'elle veut voir, pas au-delà ; pas dans ces boutures de fantastique qui lui poussent au fond du crâne, où naissent puis pourrissent des fantômes aux sourires allumés. Maelström de doute dans ses tripes. Des lémures et des anges lui passent devant les yeux. C'est comme ça, sa raison vacille comme les lueurs au bout des flammes écrasées sur le lavabo, elle voit des formes se confondre dans la glace, mais ce n'est qu'une ombre ; elle désespère dans ses joutes de questions qui s'entretuent et s'entremêlent tristement. De la cire chaude craquèle sur l'émail. C'est pas fait pour se mélanger comme ça. C'est pas fait pour remettre sa peur brisée sur la table. Dans son crâne panique, elle est dévastée, et les heures crépusculaires elle ne les voit plus passer. Elle ne sait pas comment penser. Elle craint un peu de prendre peur, elle craint de voir quelque chose sur son visage se fendre et peut-être des mains l'étrangler en sortant du miroir. Elle tremble. Les démons et les personnes se nullifient. Les fantômes s'en vont dans la glauque de la nuit. On dirait qu'elle n'a plus d'âme.

─ Bloody Mary, Bloody Mary, Bloody Mary.

Pourquoi est-ce que tu t'appelles ?
Peut-être que si tu t'invoques, tu te rejoindras, tu sauras un peu de ce que tu es ;
tu finiras tout égorgée.




— Pourquoi y a t-il autant de cheveux par terre, Marilou ?

Maman avait poussé un cri d'effroi en voyant ce que j'étais devenue. Elle avait eu peur devant ces petits épis d'or qui couvraient la moquette, le couloir, la maison, ces fils de ma tête dans le salon parsemés et qui ressemblaient à de petits crins jaunes ; je trouvais ça joli, je trouvais que ça ressemblait à de toutes petites fleurs blondes, des parterres de boutons d'or qui fanent, du blé malade ; j'aimais bien.

— Ils étaient trop longs !
Ils étaient trop longs alors je suis allée chercher le sécateur dans la véranda pour les élaguer, comme papa faisait avec les buis du jardin. Papa était jardinier.

— Tu les as coupés au sécateur.
— J'aime bien comme ça...
— Tu me fais mourir.
— C'est plus joli...
— Je vais te tuer.


J'aurais voulu que ça perdure dans la maison, que ça se transforme en tulipes et que ça pousse jusqu'au plafond, mais c'est resté inerte et mort sur le sol, rien que des morceaux de cheveux coupés par terre qui disent, ma pauvre, tu es folle, tu es bonne à interner.

Mon crâne purgé de sa forêt a mis un an à reboiser tout entier. Ma mère un an plus tard ne s'était pas remise toute entière. C'est parce qu'elle a mis du temps à trouver les rubans, les chouchous et les perles à glisser, les élastiques à nouer, le shampoing et le beau peigne noir à passer dans les crins soyeux.
Moi je les préfère filasse.
Je préfère un désastre sur mon crâne et un déluge sur le sol, un chaos capillaire. Je déteste mes cheveux.

Papa avait les cheveux longs et il les laissait comme ça, il disait que c'était joli et puis que ça lui donnait un côté pur, ou un côté métal, ou un côté communion avec la nature. Il faisait des tresses. Et puis un jour papa est tombé dans le jardin et ses cheveux se sont pris dans la tondeuse. Il est mort de façon si bête et si simple que jamais je ne m'en suis remise.




Ce n'est pas qu'elle soit instable.
C'est qu'elle est inquiète.
Marilou est très, très inquiète, et dans son petit deux pièces de trente-deux mètres carrés perdu rue des embaumeurs, elle sanglote tous les soirs derrière l'évier de sa kitchenette en parlant toute seule, et en lavant les fourchettes de Molière.
Tout allait très bien quand personne n'était au courant qu'elle vivait là.
Blair n'avait que des ennuis depuis qu'elle avait quitté ses parents, après avoir ouvert un salon de coiffure à l'endroit peut-être le plus mal placé de Cassandre, une boxeuse incorrigible attrapée sur le tas. Baptiste revenait de temps à autres en faisant hurler la porte lorsqu'elle entrait. C'était les seuls moments où Blair s'arrêtait de pleurer, et dès qu'elle avait pris sa veste ou son sandwich oublié le matin, elle repartait à la volée, dans le même fracas sur les gonds à demi arrachés. Il fallait les changer, ces gonds.

Blair est conne. C'est depuis qu'elle a vu Molière et ses cheveux très noirs passer un soir dans la rue.
On ne sait pas ce qu'il lui a pris exactement, elle a tout lâché ; ses études, sa famille, sa pauvre petite famille, ses cheveux, et le peu de raison qu'elle avait encore. Et elle a loué un meublé le plus près possible de la laverie, a t-elle dit, parce que c'était plus pratique comme ça ; tu parles. C'était le plus près possible du club de boxe. Et si ses coups de fils aux agents immobiliers ne faiblissent pas, c'est qu'elle cherche toujours et ardemment une place plus avantageuse encore.

Quand tout allait bien, il n'y avait pas de plus grand bonheur que de traverser la rue, passer devant la maison usher, et apporter des cookies au beurre de cacahuète à Baptiste Poquelin à 16 heures tapantes.
Pas pour Blair.

Maintenant c'est une autre histoire. Maintenant, c'est un périple d'aller acheter du pain, c'est une torture d'aller récupérer un timbre à la poste, c'est du suicide d'attendre à la laverie que la machine finisse d'essorer les vêtements. "Cassez-vous d'ici ! Toi et ta terroriste de copine !" "Et on laisse des légendes urbaines et leur fréquentations comme ça, en liberté dans Cassandre..." "Y'en a qui aimeraient voir leurs gosses grandir !" Toute cette peur et cette hantise de tous les jours autour d'elle la faisaient trembler. Elle ignorait pourquoi on venait parfois au salon lui cracher dessus, renverser ses mannequins ou briser sa vitrine à coups de démonte-pneu. Elle était traumatisée par les cris de certains gens qui lançaient en passant des cailloux à sa fenêtre. Voir des menaces de mort dactylographiées punaisées à sa porte la mortifiait de terreur. Blair ne comprenait pas, elle était beaucoup trop gentille et trop stupide pour savoir, elle était bien trop amoureuse de Molière pour comprendre que leur ménage insensé n'amenait que psychose et sinistrose dans les bas-fonds des vétustes quartiers. Blair tenait à sa boxeuse comme à son petit ventricule, et si elle s'excusait chaque jour d'avoir raté sa teinture violette, jamais elle ne la laisserait partir.

— Je t'en prie, Molière, ne t'en va pas. On pourrait fuir. On pourrait se cacher. Je chercherais quelque chose ailleurs, si tu veux, je chercherais une chambre plus lumineuse. Bien aérée. Avec une grande baignoire, avec plus d'espace. Un balcon. Tu aimerais avoir un balcon ?

C'était terrible, dans l'ombre de leurs pénates, ses bras enroulés sur le sien, et ses prunelles en sang qui tremblaient comme des joncs sous la tourmente. Blair était très, très inquiète. Les histoires d'horreur ne l'effrayaient pas. Elle craignait plus que la mort de voir Molière partir.
C'était un peu son fantôme à elle.




Dès qu'on perd une chose, même une chose très insignifiante, elle devient tout à coup indispensable. Tout l'or du monde, non, ça ne suffit pas, ça ne va pas, ça ne remplace pas, on veux cette chose, cette chose qui a roulé sous la table pour disparaitre, cette inconnue dans l'équation et au bord de la route, truc sans nom qui dans une seule seconde d'absence s'est fait la malle.

Ça peut être un stylo, ça peut être cette chanson parmi des milliers d'autres dans votre iPod, ça peut être l'air d'une mélodie, le nouveau mot que vous avez appris hier, un mouchoir, l'amour de votre vie.

Molière, Molière, ma Molière, ma petite Molière, ma grande Molière, Molière-tourment et Molière-remède, Molière qui revêt tous les masques, les sublimes comme les odieux, Molière ma douleur et mon poing dans le ventre, Molière en poison et en potion, Molière morceau de vie et éclat de jour qui palpite dans ma poitrine, Molière truande qui a volé mon cœur. Molière ne veut plus de moi.

Alors je l'appelle.

Je suis si pitoyable, je pleure au téléphone.
J'ai l'impression de me briser en deux à chaque petit mot qui heurte le combiné. J'ai l'impression que mes petites phrases liquides roulent dans le conduit spiralé sans toucher son oreille. J'ai l'impression que toute cette merde que je lui raconte, par flots, par rouleaux, qui suinte de ma bouche monocorde comme du vomi après une trop longue cuite, ça l'atteint pas. Ça l'atteindra plus. Ça s'effondre le long du fixe, de la coque en plastique noire, des boutons numérotés que j'aurais beaucoup, beaucoup souffert à frapper, finalement. C'était pour pas grand-chose. C'était pas méchant. C'était juste la dernière fois, la toute dernière fois, promis, que je revenais bousculer le calme, qu'elle aurait à supporter des paroles déformées à l'autre bout du fil. Juste une dernière fois. Juste une dernière voix. Allez, s'il te plaît.

— Je suis désolée, Molière.
— Je ne crois pas.


Ça m'étonne que sa voix cingle, détone comme ça ; un coup de revolver qui claque dans le micro. J'attendais un silence. Ce mutisme parasité par le grésillement. Ce malaise. Un silence. J'aurais préféré un silence.

— Je t'-. Je. Je t'aime ?

Ça m'aurait évité toute cette amertume en plus, et ça lui aurait épargné cette insistance en plus, et ces deux mots en plus, toujours en rab, pendus, suspendus. Décroche le téléphone.
Je suis pitoyable.

— Tu souhaite que je crève ?
— Je souhaite que tu disparaisses de ma vue.
— Je ne me souhaite pas de vivre sans toi,
— Alors, voilà la suite : je m'en vais, et c'est fini. Plus rien de moi chez toi.
— ...Je préfère me laisser mourir !


Le compromis, la résultante de ce conflit si maladroit, cet amour malhabile, et puis ces promesses trop maigres et sur trop peu d'empires que j'aurais eu du mal à tenir, au bout d'un fil. Des larmes sur les lèvres. Le sel pique les gerçures. Le téléphone tremble dans mes doigts, et enfin, le silence que j'aurais voulu plus tôt pour meubler le vide ; remplacer l'irremplaçable. Tout ça, c'est un peu idiot.
Le déclic du combiné.

— J'ai tout gâché, je ne t'embêterais plus, mais je t'aime, je t'aime...
— Mais te tairas-tu, maraude ?
— Et je te dis au revoir.


Un son de gorge cassée. Une muqueuse déchirée. Ce que j'aurais voulu, c'est son regard, rien que pour moi, juste pour ce tout dernier entretien avant la chute, juste avec ce moment de nuit et de rien qui m'explose au visage. Un petit épilogue sur boite vocale, et j'aurais tout laissé se déliter sans regret. Son regard pour moi et contre ma peau, le mien, juste un petit morceau de prunelles, juste un petit morceau de peau, et puis de vie, juste avant la conclusion.

Je raccroche le téléphone, j'ai dit adieu c'est fini, il n'y a pas eu de réponse qui a résonné en retour, il y a juste eu ça, ce semblant d"au revoir" qui reste un peu en l'air avant de retomber. Poussière. Rideau. Je raccroche le téléphone. J'ai dit au revoir. Au revoir ! Je l'ai dit.

Mais je reviendrai.




Il y a des gouttes qui ruissellent sur les parois de la cabine, il pleut. Il y a mes jambes qui chancellent, un peu, quand je sors. Il pleut. Le ciel cadavre s'échoue sur le béton comme un corps tombé de haut. Je met la capuche sur ma tête, j'avance, je tombe, les coutures craquent. Je reviens. Je referme la porte en verre. Je reste dans la cage translucide, à l'abri peut-être, pour de faux, pour les derniers instants avant le soubresaut. Il y a un bruit, il y a du sang sur le téléphone. Il pleut.


— Qu'est-ce que tu as encore fait comme bêtise, Marilou !

C'est plus fort qu'elle. Dès qu'elle me voit, elle braille. Il faut, avec son petit balai, son tablier, son seau de javel et ses gants roses, sa vraie bonne tête de bonne, qu'elle braille. Elle est petite et grosse. Elle est brisée en deux, accroupie sur ses taches. Elle s'est bien trouvée, ah c'est sûr, elle est faite pour ça; pour astiquer les carreaux sales et les sols calcaires. Frotter.

— Tu es allée trainer où ? Que font ces taches, sur tes mains ?

Faire reluire. Une petite ménagère. Remuer sans cesse, agiter, avaler les moutons de poussière et les faire bouger pour qu'ils retombent mieux. Pour que ça revienne s'installer dans tous les petits interstices de la vie. J'aime la saleté, moi; il faut aimer la saleté, il faut apprendre à composer avec le crade et le malsain et le taché, de toutes façons dans la vie il n'y a que ça, du sale du sale du sale, partout. Il ne faut pas s'obstiner à tout garder propre, il faut laisser comme c'est. Y'a des cons et leur lubie de nettoyer toujours, y'a des bonnes, y'a des gens comme ma mère pour laver les contours. Mais elle aura jamais assez de détergent pour supprimer ce sang de mes petites mains.

Je suis triste. Je la regarde dans les yeux, ses grands yeux blancs de femme vide et très fade et très insignifiante. Maman, ma maman, tu ne vaux rien.

— Arrête de me regarder comme ça Blair. Tu te moques, arrête, tu te moques, ça m'énerve.
— Maman, ça te va bien, comme ça !
— Comme ça ?
— Le tablier.


Le détergent qu'elle m'a jeté au visage m'a brûlé les yeux.
De ma vie, je ne l'ai jamais plus revue ensuite.




D'affreux malentendus qui ont pourri une petite vie banale.

Blair regarde parfois d'anciennes photos où elle avait des cheveux blonds et un sourire jusqu'aux oreilles, celui qui lui faisait une adorable bouille et que sa mère adorait parce qu'elle ressemblait à un chaton. Elles sont belles et fleurent bon le passé heureux, le gâteau au chocolat dans le four, gonflé de la chaleur et des vacances d'été. Elle les avait oubliées.

Alors elle craque une allumette et elle flambe toute cette merde.

Tous à Cassandre pensent de Blair qu'elle est une maniaque obsessionnelle compulsive, qu'elle a traîné sa copine dans les pires vices de la création pour en faire une dangereuse ennemie publique, que cet homme qu'elle a tué ce soir-là par accident fut victime de sa folie ésotérique, qu'elle ne rêve que d'arracher la tête de vos enfants. Qu'elle n'est pas aussi bête et aussi désemparée qu'elle le prétend, dans sa petite robe en forme de linceul.
Tous en ont une peur viscérale.

Même Blair finira par croire qu'ils ont raison.



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MessageSujet: Re: she's lying under ghosts and calls   she's lying under ghosts and calls Empty23.07.12 11:36

(ici batmaaaaaan) (sur le compte d'un roux) (j'ai honte)

rebienvenuuuuue.
que dire que dire que dire. JE LOVE MARILOU. évidemment. évidemment. évidemment.
tu es validée, bloody mary.

DANS LA PLACE
 
 

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