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 Rose ▬ It's a small crime and I've got no excuse

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Rose E. Rigault
Rose E. Rigault
« we didn't start the fire »
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Âge : 31
Messages : 48
Date d'inscription : 12/03/2012

Personnage Incarné : Estelle Rigault (Huis clos)

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MessageSujet: Rose ▬ It's a small crime and I've got no excuse   Rose ▬ It's a small crime and I've got no excuse Empty26.03.12 16:41

Moi je suis méchante

Ca veut dire que j’ai besoin de la souffrance des autres pour exister.
Rose ▬ It's a small crime and I've got no excuse JfvICPersonnage Incarné : Estelle Rigault ▬ Huis Clos (Sartre)
Nom, prénom(s) : Rose Rigault
Surnom : La catin, la cocotte. Ma petite merde pour Clarence, dans ses doux moments.
Âge : 28 ans.
Métier : Prostituée à la retraite, femme entretenue.
Camp : Pour Noctem.

It’s a small crime and I’ve got no excuse

Is that all right with you ?

Elle est drôle petite Rose, lorsque ses yeux s’illuminent, au simple nom de Noctem, tandis que d’un ton net elle énoncera calmement ses vérités. Car Noctem est bon, Noctem est tout, Noctem sait ce qui est le mieux pour eux, et le suivre est la chose la plus aisée et la plus raisonnable à faire. Sans être particulièrement engagée – une tâche bien trop basse pour une femme de sa condition – Rose soutient et approuve donc son camp, de loin. Oh elle est drôle oui, avec ses motivations prétendues qui doucement s’écaillent, lorsque le sourire condescend au creux de ses lèvres de moineau se tort. Car Rose n’a qu’une seule vérité. Quitte à être tombée dans ce destin qui l’achève sans la tuer, tous doivent chuter avec elle.

Elle est drôle Rose oui, avec ses doubles mensonges toujours inassumés. Car au fond, Rose est terrifiée. Terrifiée par les autres, qui la regardent toujours trop fort, dont les mots retentissent lors de ses nuits sans sommeil, et dont surtout, surtout, elle ne peut se passer. L’Enfer existe, et porte deux noms pour un seul regard.

Les fous disent la vérité

▬ Vraiment? Laquelle ?
▬ Il n’y en a qu’une : l’horreur de vivre




▬ Vous êtes belle.

▬ Vraiment ? Répétez-le encore alors.


▬ Vous êtes belle. Le rouge rehausse vos blessures.

▬ Non, pas comme ça, avec votre regard. Allez, approchez donc un peu, si vous me regardez assez bien peut être vous laisserais-je passer un bras autour de mes épaules. J’ai si froid vous savez.

▬ Là, là. Dites-moi plutôt … que fait une demoiselle aussi charmante que vous seule sur un banc à la nuit tombée ?

▬ J’ai un peu trop bu je crois, il me fallait sortir respirer, avant de me noyer entre le blanc des murs. Le reste je ne m’en souviens plus, le monde tourne toujours trop vite. Vous rendez vous compte pourtant … une femme de ma condition, à boire comme le plus vulgaire des matelots ! Je. Je voulais juste dire adieu aux murs qui tremblaient … et voilà qu’ils chavirent.

▬ Là, ne vous en faîtes pas mon petit oiseau, je vais m’occuper de vous. Tenez prenez ma veste.

▬ Non, non … Sa couleur jure atrocement avec ma robe. Non, vraiment, ce n’est pas possible. Vraiment, non. Je préfère avoir froid.

▬ Vous savez, vous pouvez venir chez moi si vous n’avez nulle part où aller ce soir.

▬ …

▬ Mademoiselle ?

▬Chut, vous entendez ? Le silence pleure ce soir.

▬ … Pardon ?

▬ Ah taisez-vous, la condescence est si exécrable à entendre ! Ou non, non, ne vous taisez pas, regardez-moi, je vous en prie, regardez-moi, cela fait si longtemps que je ne me suis pas noyée dans le regard d’un homme. Oui, c’est cela, fixez moi plus fort, continuez, ne me lâchez pas, ou je tombe, je tombe ! Là-bas eux ne savent que me happer, m’écorcher. Ca fait si mal un coup d’œil vous savez. Surtout les siens. Il n’y a rien de pire que le regard d’une femme sur une femme.

▬ Je …

▬ Mais les yeux d’un homme, oh ceux d’un homme … Vous auriez dû voir les siens, après … l’accident. Toute la tristesse du monde n’aurait pu résumer ce regard-là. Il me suivait sans cesse, comme un parasite, m’écorchait la peau à chacune de ses absences. Au fond je crois qu’il savait, qu’il a toujours su. Qu’il a compris à la seconde où ma poigne s’est desserrée, cette ultime seconde, et vous savez, vous savez, ce n’était pas de ma faute pourtant, s’il n’y avait pas eu ses yeux là, plantés comme deux billes immondes au milieu de sa figure, ses yeux qui hurlaient en silence, tandis que les miens fixaient avec horreur la masse de chair qui braillait, braillait, s’il n’y avait pas eu mes bras tendus au-dessus de la rambarde, s’il n’y avait pas eu tout cela, cet instant minuté, chronométré, qu’il aurait suffi d’un mot de sa part pour briser, mais non, il était là vous savez, avec ses deux pupilles figées et beuglantes, il avait toujours été ainsi, trop bon, trop simple, trop heureux de cette petite affaire bien et promptement arrangée qu’avait été notre mariage, lorsqu’au fond de l’Eglise nos pères débonnaires et costumés se frottaient les mains, non s’il n’y avait pas eu tout cela, cette fatalité qui frappe soudainement à la porte et qu’il faut laisser entrer …. C’est drôle comme les pires des drames peuvent se conclure par un bruit mat et une petite éclaboussure rouge sur le parquet bien ciré.

▬ … Là ma jolie, vous êtes soûle et fiévreuse, vous délirez. Rapprochez-vous un peu, vous allez attraper la mort.

▬ Non, ne me touchez pas ! Pas tout de suite, je suis une femme délicate, il vous faut m’apprivoiser, me rassurer, me cueillir délicatement avec vos grosses mains d’hommes. Les vôtres sont un peu vulgaires, comme celles de mon ex-mari d’ailleurs. Un bon homme pourtant, vous savez, c’est lui qui a tout raconté au secours, ma chute dans l’escalier, l’enfant dans mes bras que j’ai lâché au passage, et puis le corps inanimé, c’est si simple une mort miniature, de ces courants froids que l’on sent à peine passer ; pourquoi pleure-t-on d’avantage ces silences qui enfin reviennent que la chair qu’on arrache de nos entrailles écartelées ? Parfois pourtant … je me dis que nous aurions pu vivre. J’aurais eu un mari fortuné, un enfant que j’aurais appris à aimer, un amant aux mains fines et douces dont le premier n’aurait jamais soupçonné l’existence. Mais non, juste une tâche carmin sur le sol, et mes yeux qui fixaient le silence, la pauvre femme, la pauvre mère, murmuraient-ils, vous rendez vous compte ? Ce n’était pas de ma faute, c’était le … destin.

▬ Là mon oisillon, là, je vous crois … De toute manière, l’humanité entière est complice de meurtre. Certains laissent simplement partir ce qui leur est cher … avant d’autres.

▬ Rien de tout cela ne m’était cher pourtant. C’est si vulgaire la vie de femme mariée, de bonne petite ménagère, c’est fatiguant aussi de devoir trôner dans la maison comme un objet de décoration en attente de l’homme, lancer quelques réprimandes aux domestiques parce que la porcelaine avait été mal astiquée, se rendre aux soirées mondaines, mais pas d’avantage qu’une fois le mois, mon mari avait horreur de celles-ci, le pauvre homme! Ne vous détrompez pas, j’ai toujours été une épouse idéale, une femme de mon rang a un statut à tenir ! Mais il n’y avait que les robes, les jolis bijoux, et le rouge sur mon visage qui savaient me faire sourire. J’ai toujours été si jolie dans un miroir.

▬ Vous l’êtes encore plus dans les yeux des hommes.

▬ Oui, j’aime quand ceux-ci me regardent … oh serrez moi fort, j’ai si froid ! Mais après l’accident les siens, oh les siens … L’affaire avait promptement emballée, les pleurs de mes parents, le petit cercueil d’ébène descendu sous terre, l’enterrement en petit comité, il ne fallait pas de scandale comprenez-vous, c’était l’essentiel. Moi j’étais surtout triste pour tous ces vêtements noirs qui gâchaient les couleurs du ciel, les couleurs claires ont toujours mieux accompagné mon teint. Et surtout lui, lui et sa tête baissée, ses mots muets comme un reproche. Mais surtout ses yeux, oh ses yeux … Ils me regardaient vous savez, ils me regardaient, me poursuivaient tel un prédateur guettant sa proie, et dans ces prunelles là je pouvais lire, non pas la plus grande rancœur, mais toute la tristesse, toute la pitié du monde, et quand je voyais ces yeux-là, je comprenais que, que … Oh, par pitié serrez moi plus fort ! Je ne veux plus jamais me souvenir de ce regard !

▬ Mais alors … qu’avez-vous fait ?

▬ C’est simple … j’ai saisi le destin à bras le corps et suis partie la première. Autrement dit, j’ai demandé le divorce. J’ai fait mes valises un soir, ait réservé un taxi, et lui ai dit sur le pas de la porte : ‘je pars, j’ai décidé d’aller vivre avec mon amant. Je reviendrais pour que nous puissions compléter les papiers.’ Alors il n’a rien dit, a encaissé le coup avec ses yeux trop calmes, à la douceur criarde. Au fond, nous savions bien trop tout deux pourquoi je m’enfuyais. Mais, ce n’était pas de ma faute, je. Je voulais juste quitter ce regard qui m’arrachait la peau. Si condamnée à la potence j’avais aimé mon bourreau, je l’aurais fixé de la même manière.

▬ Mais cet amant … ?

▬ Un jeu poète en devenir que j’avais rencontré il y a un mois de cela, à la fougue aussi folle que son ambition. Je l’ai aimé vous savez, comme on aime plus jamais personne ensuite, le cœur est incapable de répéter les mêmes erreurs.

▬ Ou peut-être aviez-vous cru pouvoir oublier les vôtres au creux de ses bras …

▬ Je ne vous permets pas ! Je n’ai absolument rien à me reprocher, je .. !

▬ Doucement mon rossignol, je vous taquine, votre sens du romanesque est si tendre à observer. Mais continuez donc, ce rouge sied à vos joues. N’ayez pas peur de vos mots, je suis là pour vous en protéger.

▬ Je. Vous êtes bien doux vous, j’aime les hommes aux mains fortes. Lui me disait toujours ‘prends garde petite Rosie à qui tu iras conter fleurette !’ lorsqu’il me serrait trop fort, ‘prends garde petite fleur tu y perdras tes pétales !’ Les gens sont si cruels. Vous aussi vous me ferez du mal n’est-ce-pas ?

▬ Jamais je ne … !

▬ Non ne dîtes rien, vous êtes déjà une petite part de mon Enfer, c’est bien suffisant. Mais vous, est ce que vous savez ce que c’est vous, est ce que vous comprendrez, cette impression d’avoir sans cesse des barreaux dans le crâne, de ne pouvoir fuir cette foule ricanante, cette foule qui écorche et qui dit ‘je sais, je sais’, le monde est un bourreau et vous en êtes le fouet, et dans ma tête il y a des rires, des détails qui sautent au visage même les yeux fermés lors des plus longues nuits sans sommeil ! Dans mes yeux un bouton de manchette, une pétale de marguerite ou un verre laissé à l’abandon peuvent devenir les choses les plus terrifiantes qui soient. Oh ne me regardez pas, je suis si laide !

▬ Mon petit oiseau …

▬ Non ne m’appelez pas comme ça, je suis fatiguée de tous vos mots doux ! Regardez-moi, j’ai encore le désir crasse des hommes qui me colle à la peau ! Il m’avait pourtant dit, ‘Ce n’est pas bien compliqué Rosie tu verras, tu t’y feras vite, il suffit de boire beaucoup de champagne et puis de laisser le client faire, tu comprends Rosie nous avons besoin d’argent maintenant que tes parents refusent que tu ne remettes ne serait-ce qu’un pied à la demeure familiale et le temps que je finisse mon recueil, ensuite, ensuite, nous aurons la vie dont tu as toujours rêvé !’ Une bonne maison, il m’avait pourtant dit … Mais vous savez, une fois le champagne débouché sur canapés de velours, une fois tout le cérémonial passé des premiers mots et des caresses languissantes, oh j’aime tant pourtant quand les hommes me regardent, alors tout n’était que le même enfer mécanique et suintant, et rendez-vous compte, une femme de ma condition, une femme de ma condition ! Votre petit oiseau doré ne devenant rien de plus qu’une cocotte en papier sous sa jolie reluire …

▬ Ce n’est pas grave, je vous aimerais ma petite. Je ne vous connais pas assez encore.

▬ C’est drôle … vous lui ressemblez. Peut-être est-ce le sourire. Ou les mains, je ne sais pas vraiment. Lui aussi a débarqué un soir à l’improviste, certaines personnes n’ont vraiment aucune manière, entrer sans même prendre le temps de frapper à la porte de la fatalité. Et elle, oh elle, qui a suivi comme une trombe … Ce n’est pas de ma faute pourtant, si je ne peux pas les haïr, les sentiments trop forts défigureraient mon tendre visage. Mais je parle, je parle … Je crois que le silence me fais peur, lui aussi.

▬ Ou peut-être est-ce simplement l’alcool. Mais continuez, mon enfant. Il est presque tendre d’imaginer leurs mains sur votre corps dénudé.

▬ Oh que vous êtes vulgaire … Tout comme eux d’ailleurs, oh ! Car je l’avais laissé entrer oui, peut-être ai-je compris, dès que ces lèvres se sont posées au bord de mes doigts.

▬ Compris quoi donc ?

▬ Je ne sais pas vraiment. Que cet homme serait … différent. Peut-être était-ce la manière un peu brusque dont il m’avait déshabillée – un soldat en permission voyez-vous, de véritables animaux – ou alors cette façon qu’il avait de me regarder feindre pendant l’amour, alors moi je suis noyée, noyée, noyée dans ses coups de reins, quand soudainement, la porte de la chambre a claqué toute grande, et tout s’est enchainé, ma honte, la femme, l’homme qu’elle a entraîné avec elle, et surtout, surtout, son regard à elle posé sur ma chair. Alors j’ai su quel était le visage d’un monstre.

▬ D’un monstre ? Il n’y a pourtant rien de plus beau qu’une femme avec une …

▬ Oh taisez-vous donc ! Vous ne savez les yeux qu’ont ces choses-là. Un instant de plus et elle me dévorait toute entière.


▬ Mais tu trembles … Allez rentrons chez moi, tu verras, moi je saurais te déguster avec douceur.

▬ Non, non … pas ce soir, je. Je suis si fatiguée. Vous les hommes aussi, vous êtes tous les mêmes. Oh, elle est belle la petite Rose, perdue entre les murs d’une ville, le cœur braqué sous le canon des leurs ! Au final, je suis juste un peu la même que l’autre, je n’ai jamais su être bien originale, juste un peu plus morte que vive, je ne sais pas vraiment. Vous savez moi mon destin m’a déjà été ravi, il ne me pend pas au nez telle une menace à venir, à oublier, à contourner, ou dans laquelle se jeter, mon destin à moi il est là, dans chaque seconde que je respire et qui me colle à la peau, dans chaque instant qui reviens, car je les ai revus évidemment, car ils ne cessent de revenir par les pires des hasards, et il a suffi d’une nouvelle rencontre importune, de la chevelure de Marla croisée au bord d’un boulevard, de la moustache de Garcin sur les pavés pour que je comprenne, que je comprenne … Oh le monde est cruel. J’ai tant besoin d’eux vous savez.

▬ Je pourrais t'apprendre à avoir besoin de moi …

▬ Non … non, vous vous ne faîtes pas partie de cette existence, je ne vous ressens pas. Vous savez, je n’ai plus rien à attendre. Mes plus grands drames sont déjà écoulés. Il n’y a rien de pire que d’avoir déjà mille ans à l’aube de sa vie.

▬ Mais ces deux personnes dont tu parles, tu ...

▬ Non, laissez-les de côté, je ! Revenir sans cesse vers eux les lèvres rougies et les yeux suppliants, griffer leurs corps pendant l’amour comme pour leur hurler le mal qu’ils me font à défaut de les en marquer est déjà bien suffisant. Rendez-vous compte que peu après leur rencontre j’ai même quitté mon poète ! Celui-ci n’avait plus rien à m’apporter de toute manière. Ou peut-être était-ce aussi parce qu’il y avait eu cet homme … Un marquis. Un chèque de sa part, et j’étais tirée de mon velours et de mes étreintes rêches. La vie est bien drôle parfois.

▬ Et ce marquis … parvient-il à te rendre heureuse ?

▬ Mais voyons … ne savez-vous donc pas que le bonheur n’est pas permis aux monstres ?

▬ Mais tu n’es pas un monstre mon oisillon …

▬ Si. Je … Je me suis vue dans votre regard.



Prends une autre bouteille

Les deux premières sont parties trop vite.
Pseudonyme : Sheina.
Sexe : Seulement sur un lit de roses noires les soirs de pleine lune.
Âge : Fossile.
Source de l'avatar : Hungaria ▬ Hetalia
Comment avez-vous découvert SQE ? Par l’une des fondas. (KRKRKR HOW VIP DOES THAT SOUND ? 8D /OUT)
Des questions, des réclamations ? KAKAUET. (et les roux c'est naze. Sauf au ptit déj')
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Pétunia Œ. de Thèbes
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Messages : 354
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Personnage Incarné : Œdipus Rex
Surnom : Fureur
Préface de Cromwell :
Je n'ai pas cru dès lors pouvoir laisser à d'autres le soin d'entendre votre appel, je suis venu à vous moi-même, mes enfants, moi, Œdipe — Œdipe au nom que nul n'ignore.
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VOYAGE AU CENTRE DE LA TERRE
Âge : 24 ans.
Métier : Garçon de café, étudiant.
Que pensez-vous de Noctem ? :
Rose ▬ It's a small crime and I've got no excuse Empty
MessageSujet: Re: Rose ▬ It's a small crime and I've got no excuse   Rose ▬ It's a small crime and I've got no excuse Empty27.03.12 21:08

GROSSE BIATCH, C'EST DE LA DEMER, RENTRE CHEZ TOI, ROSE ELLE PARLE COMME UNE POUILLEUSE, JE TE VALIDE PAS, JE SUIS FURIEUX, NON PIRE, JE SUIS FAST AND FURIEUX, T'ES MOCHE, TU PUES, VIENS PAS AU BAL MÊME NOCTEM IL VEUT PAS DE TOI, GROSSE KIKOO MARY-SUE

je reviens, je vais chialer, y a pas moyen, c'est trop pour mon petit coeur mou, je meurs, là. JE NE PEUX SUPPORTER TANT DE. (phrase inachevée à jamais, les mots ne suffisent plus)

(par contre j'ai vu des fautes. /trollface)
 
 

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