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 arsène ● tu leurres même la vérité

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Marcel A. Lepain
Marcel A. Lepain
« we didn't start the fire »
« we didn't start the fire »
Messages : 44
Date d'inscription : 01/04/2012

Personnage Incarné : arsène lupin, biatch
Surnom : marc
Préface de Cromwell : éclate ma tête, mes bouts de cervelles deviendront pierres précieuses.

VOYAGE AU CENTRE DE LA TERRE
Âge : vingt-trois
Métier : étudiant en médecine, voleur
Que pensez-vous de Noctem ? :
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MessageSujet: arsène ● tu leurres même la vérité    arsène ● tu leurres même la vérité  Empty03.04.12 21:31



MARCEL LEPAIN,
ARSÈNE LUPIN.


arsène ● tu leurres même la vérité  120402074503421578

personnage incarné : Arsène Lupin, Arsène Lupin Gentleman Cambrioleur de Maurice Leblanc.

nom, prénom : Lepain, Marcel.
surnom : Marc pour les intimes, n'importe quel prénom pèle-mêle sinon.
âge : vingt-trois ans.
métier + études : officiellement comédien et étudiant en médecine, officieusement cambrioleur et voleur.
camp : déchiré.


Marcel ne sait pas trop quoi penser de Noctem, d'une certaine façon il lui est reconnaissant pour le futur qui va s'ouvrir à lui, mais en même temps cette destinée toute tracée qui en a détruit d'autres le met mal à l'aise quoi qu'il en soit, il hésite entre le rôle du gentil ou du méchant toutou. Quant aux personnes qui partagent son avis, il en connaît peu, ne cherche pas à les trouver, il comprend les arguments de chaque camp, mais préfère juste se concentrer sur ses affaires, les grands débats, c'est fatiguant. Arsène préfère avoir le beau rôle de juste regarder les autres vivre leur combat alors son degré d'engagement est plutôt faible, mais quand il faudra véritablement se ranger d'un côté, il sera tel un lion.
Sa plus grande peur est de mourir malheureux.



« Gauthier, Gauthier Leroy. » qu'il dit alors que ses commissures s'étirent. Le mensonge et l'hypocrisie bouillonnent dans son sang, mais — que diable ! — comment pourraient-ils imaginer l'espace d'un instant que ce type mente comme il respire. Chez lui, c'est chronique, il débite milles mensonges à la seconde que le monde gobe comme un poisson, ils sont emprisonné dans une illusion, dépendants d'un sale type. Hier Frederico Bogliacci, aujourd'hui Gauthier Leroy, demain Adam Lewis, mais toujours et jusqu'à sa mort Marcel Lepain, sangsue indécollable de son épiderme, épine profondément plantée dans son talon. Son existence est une mascarade éternelle, sa vie une comédie encore et à jamais à l'affiche au théâtre, et c'est le mensonge qui sera son amour jusqu'à son dernier souffle.
Il devient presque touchant, à se mentir continuellement, à s'inventer des vies qu'il aurait rêvé connaître. Il est son créateur et sa créature, il est une pâte que lui-même s'amuse à modeler et remodeler sans arrêt. Comme la fumée de sa cigarette, il se dissipe dans l'air, disparaît. Il existe et n'existe pas ; il est là sans être là. Sa voix basse collabore avec lui pour mieux duper, pour mieux vous persuader des fausses affirmations qu'il siffle.
L'unique vérité dans ce chaos de tromperies, c'est qu'Arsène est un problème et qu'Arsène a un problème.


C'EST UN PARASITE QU'EST L'AMOUR,
MIEUX VAUT JAMAIS QUE TOUJOURS.

« Je suis enceinte. » et pourtant, je t'avais dit de dégager, de te tirer, que tu vivrais malheureuse et que je serai un enfoiré. Tu es restée, tu es conne, mais je t'aime quand même. Pardonne-moi d'avance de pouvoir t'assurer que bientôt je t'abandonnerai et en aimerai une autre. Pardonne-moi d'avance de ne pas savoir de quelle manière combattre mon destin. Chaque matin tu te réveilleras avec personne à tes côtés car je me serai déjà tiré pour allez écouter un type qui veut m'apprendre comment recoudre des blessures, chaque après-midi tu seras seule dans ta mélancolie car je serai en train de remplir des fiches de mon écriture désordonnée, car le soir tu mangeras un plat avec personne pour discuter car je serai en train de jouer la mascarade sur les planches d'un quelconque endroit et car la nuit tu éclateras en sanglots sans personne pour sécher tes larmes amères car je serai en train de débloquer une fenêtre et de voler en silence quelqu'un. J'aurais vraiment voulu que tu t'enfuies, que tu t'échappes de mes griffes. Et mon café a perdu tout son goût et ma cigarette trop forte qui me noircit les poumons me semble trop light et le ciel azuré a l'air désormais morose. Et là, je me sens vraiment con de ne pas avoir envoyé chier mon destin. Ça brise ma gorge, ça bloque le péristaltisme et je m'étouffe avec mon café serré. Les hauts le cœur sont plus fort, vais-je vomir ma frustration sur ta belle gueule d'idiote ? Tu souris, encore, à croire que t'évites mon visage qui se décompose. Dans mon cœur se libère une implosion de bonheur et de rancœur. Dans mon esprit s'évanouissent ces rêves de changer ma destinée ou de faire une trêve. Ma condamnation a commencé le jour où j'ai piteusement regardé cette bonne femme chasser ma mère tout en sachant qu'elle crèverait sans n'avoir rien fait. Mon fardeau est ma chance dans la plus déséquilibrée des tristesses, ma chance d'être un voleur hors pair et d'être ce que la société pense être un bel homme et un gentilhomme. Et puisque je suis un gentilhomme déloyal qui ferme sa gueule sur ses réelles pensées, je te lâche un tranchant « Mais c'est fabuleux ! »
Si tu peux prétendre être sincère, tu peux prétendre tout être.


J'AI MARCHE SUR LE BEAU CHEMIN DE MA DESTINEE
SANS JAMAIS OSER PRENDRE CELUI DE LA LIBERTE.

Sitôt garnement à courir partout comme un crétin sous LSD, j'ai su. Je peux vous jurer que même avant je le sentais quand je volais des sucreries chez l'épicière, quand je fauchais des trucs chez la grosse femme qui me gardait alors que ma mère jouait la veuve éplorée auprès des riches hommes, quand j'ai vu mon père se tirer en silence de chez nous alors que je ramenais le chat d'un quelconque voisin chez nous. J'ai su ce que je serais, j'ai su quel serait mon destin et j'ai accepté et j'ai renié. Et cela me tue et ça m'enflamme, ça me rouille et m'alimente.
Je suis une jeunesse gâchée, un beau destin tout tracé, un raté. Mais puisqu'à ce qu'il paraît je suis un crétin, je devrais m'en remettre. À ce qu'il paraît je suis un gentilhomme, alors je ferai un beau sourire de faux-cul et je fermerai ma gueule. Mais le truc qui cloche dans l'équation serait que j'aime bien prendre les gens qui m'entourent pour des cons, que je me fous d'eux comme je me fous de la charité sauf pour les jolies femmes et que de toute façon, je suis un mythomane d'exception. Alors que ma destinée éclate en milles futures emmerdes, ça m'est bien égal. Un bon menteur sait se sortir des emmerdes que lui-même a créé en susurrant d'autres mensonges. Au pire du pire, j'irai me cacher chez mon ex et, promis juré peut-être craché, j'élèverai ma gamine et je ferai d'elle une bonne sainte tout en braquant un flingue sur chaque pechno qui se croira affublé d'assez de connections de neurones pour prétendre avoir l'étoffe de sortir avec elle. Et tout ira bien pour le meilleur des mondes car se mentir à soi-même possède la vertu la plus rassurante que mon cerveau connaisse. Mon univers tourne trop vite pour le fil de mes actes le suive et tant de choses se bousculent dans ma tête. Je vomis mon sang le plus pur et garde le plus pourrit pour me rappeler que je le suis tout autant. Et je cambriole vos amours, je braque votre confiance et je vole vos biens. Qu'on se moque de ma misère, je resterai dos droit et imiterai l'allure qu'ont les fiers.
En attendant, riions du sort qui se fout de nous et de notre belle gueule.


Je mens, je me fends dans la nuit, je me déplace comme un chat, je vole et file à l'anglaise. Je n'excelle que dans cela et l'art d'être un gentleman à qui il arrive de fuir ses responsabilités. Je suis humain, j'ai une blessure au cœur, je fais partie des gens qui héberge le dépit dans leur ventricule qui bat à la chamade dès que le mot "liberté" est prononcé. Je ne dis pas merci ni à celle qui m'a élevée ni au type assis à mes côtés à qui j'emprunte une gomme, je dis le merci des fourbes et cela n'a aucune valeur. Mon fardeau, c'est mon passé et mon avenir, c'est les regrets du lendemain matin et les craintes de ce qu'il pourrait se passer la semaine prochaine. Je respire un air fait de plomb et pourtant je flotte sur la marée noire comme un vulgaire bâton alors que mon cerveau s'asphyxie et déraille à cause de mes propres pensées. Je crois qu'on n'a jamais vécu, on n'a fait qu'exister et survivre minablement.



pseudonyme : Bratislava, wéé.
Sexe : réalisez vos fantasmes, tapez-vous Heidi.
Âge : DANS UN MOIS TRES EXACTEMENT J'AI SEIZE ANS.
Source de l'avatar : Grèce ● APH
Comment avez-vous découvert SQE ? je sais plus, mais c'est Linebb qui m'a refilé l'adresse.
Des questions, des réclamations ? si Marcel convient pas je le réécrirai quitte à le refaire entièrement et y passer toute une nuit. ;;
arsène ● tu leurres même la vérité  011



 
Mallory C. Polypheme
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Date d'inscription : 28/11/2011

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VOYAGE AU CENTRE DE LA TERRE
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Métier : Informateur, Berger
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MessageSujet: Re: arsène ● tu leurres même la vérité    arsène ● tu leurres même la vérité  Empty06.04.12 9:10

bon biatch, je m'esclamerai la prochaine fois qu'on se croise sur Hèmèsène. Pour le moment, la, je valide et je te dis GO TO THE OPERA. Et comme pour les autres, je te file pas de lien, tu vas y aller avec ta souris d'ordinateur toute seule parce que j'ai grave la flemme.

BIG UP ET BIENVENUE.
 
 

arsène ● tu leurres même la vérité

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